>> Ouverture du 4e Sommet du Partenariat pour la croissance verte à Hanoï
>> PG4 : le PM Pham Minh Chinh reçoit le ministre sud-coréen des AE
>> P4G : le président vietnamien rencontre le ministre sud-coréen des Affaires étrangères
Le Premier ministre lao Sonexay Siphandone a affirmé que le Laos s'engageait à soutenir et à promouvoir la croissance verte, comme en témoignent la création d'un comité pour la croissance verte en 2016, son adhésion à l'Institut mondial de la croissance verte (GGGI) en 2017 et l'adoption d'une stratégie de croissance verte à l'horizon 2030 axée sur la promotion d'un développement économique équitable et inclusif, la réduction de la pauvreté et la promotion de la prospérité.
![]() |
Le Premier ministre Pham Minh Chinh et les délégués au 4e Sommet du Partenariat pour la croissance verte et les objectifs mondiaux. |
Photo : VNA/CVN |
Il a souligné l'importance de cet événement ainsi que le rôle proactif et les contributions concrètes du Vietnam aux efforts mondiaux en faveur de la croissance verte, de la transition verte et du développement durable.
Le Premier ministre lao a également appelé les partenaires et la communauté internationale, y compris les États membres et les partenaires au développement, à s'engager activement dans les initiatives de développement durable et de croissance verte ; à renforcer la coopération internationale et le soutien mutuel pour favoriser le développement ; à créer ainsi davantage d'opportunités pour l'innovation et la technologie, notamment dans la transformation des technologies vertes.
De son côté, le Premier ministre éthiopien, Abiy Ahmed Ali, a déclaré que l'Éthiopie avait défini une feuille de route ambitieuse pour atteindre la neutralité carbone et bâtir une économie résiliente au changement climatique d'ici 2050.
Pour atteindre les Objectifs de Développement Durable (ODD) et respecter les engagements de l'Accord de Paris, le Premier ministre éthiopien a appelé à une nouvelle approche pour le partenariat mondial, soulignant que, plus que jamais, les actions climatiques devaient s'accompagner d'un soutien concret et ciblé aux pays les plus vulnérables aux effets du changement climatique.Il a proposé trois actions clés : garantir un financement adéquat, stable et durable des actions climatiques ; accroître les investissements dans le développement énergétique en Afrique ; prendre des mesures urgentes pour lutter contre la perte de biodiversité et la déforestation et restaurer les terres dégradées.
Pour sa part, le secrétaire générale adjoint des Nations Unies, Amina J. Mohammed, a souligné que les chocs climatiques avaient eu de graves conséquences telles que des crises politiques et économiques, qui pourraient menacer les progrès réalisés dans le domaine du climat.
Cependant, des lueurs d'espoir subsistent, alors que les dirigeants et les représentants d'organisations internationales se réunissent lors de forums comme P4G pour rechercher des solutions communes.En 2024, les énergies renouvelables représentaient 92% des nouvelles sources d'énergie, a-t-ilnoté, ajoutant qu'il s'agissait non seulement d'une opportunité pour l'avenir du monde, mais aussi d'un moteur de développement économique et de numérisation, et qu'il créerait plus de 1,5 million d'emplois, progressant vers une société plus inclusive et plus équitable pour tous.
VNA/CVN