"Je m'oppose à des réponses militaire, à ces sortes d'actions parce que ce n'est pas non plus dans l'intérêt de faire des essais de tir de n'importe quoi", a indiqué le président sud-coréen lors d'un entretien avec le journal britannique Financial Times.
Certes, le président sud-coréen a ajouté que certains pays, comme le Japon, s'inquiètent "de façon normale" du lancement du missile parce que cela concerne étroitement la sécurité de leurs citoyens.
Ces propos sont intervenus peu après que le secrétaire américain à la Défense, Robert Gates, eut annoncé que les États-Unis n'ont pas l'intention d'intercepter le missile de la RPDC à moins qu'il ne vise le territoire des États-Unis.
Le président a souligné que l'objectif principal de la Corée du Sud concernant la RPDC est, peu importe le temps que cela prendra, de réunir pacifiquement les 2 côtés.
La RPDC a déclaré qu'elle lancera un satellite de communications entre le 4 et le 8 avril.
XINHUA/VNA/CVN