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La reprise porte sur l'ensemble des sites d'Ascometal, à savoir son aciérie d'Hagondange (Moselle) et ses trois sites d'usinage et de parachèvement, à Custines (Meurthe-et-Moselle), Saint-Étienne (dans le quartier du Marais) et Leffrinckoucke (Nord), soit près de 800 emplois. "Je salue le délibéré rendu en faveur de la solution Greybull pour lequel nous avons travaillé d’arrache-pied et qui est permis notamment grâce au soutien de l’État", s’est réjoui le ministre sortant de l’Industrie, Roland Lescure, dans une déclaration transmise à l’AFP. "Comme nous nous y étions engagés, nous avons cherché des solutions et les avons trouvées. Longue vie à Ascometal et tous ses salariés !", a-t-il conclu. "C'est un sacré soulagement, ce n'est pas passé loin. C'était l'ultime solution pour éviter la liquidation, alors que les autres repreneurs potentiels, Venete, Europlasma, s'étaient défilés", a déclaré Xavier Le Coq, délégué national de la CFE-CGE sidérurgie.
AFP/VNA/CVN