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Des manifestants prodémocratie se trouvent près du siège du gouvernement, le 2 octobre à Hong Kong. |
Aux premières heures de la journée, ils étaient environ 200 policiers casqués, un masque à gaz sur le visage et un bouclier à la main à être alignés derrière des barrières métalliques. De l’autre côté, plus de 3.000 contestataires s’étaient massés, certains disant vouloir pénétrer dans le bâtiment de l’administration du chef de l'exécutif de Hongkong, Leung Chun-ying.
"Nous essayons d’encercler tout le complexe abritant le gouvernement et nous attendons qu’il (M. Leung) revienne au travail vendredi", jeudi 2 octobre étant un jour férié, a expliqué Thomas Choi, un des manifestants, avant de lancer : "Nous voulons lui parler face-à-face".
"Nous envisagerons plusieurs actions différentes dans les prochains jours, comme occuper d’autres endroits, tels des bureaux du gouvernement", a, pour sa part, déclaré un des dirigeants du mouvement estudiantin, Agnes Chow.