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Le secrétaire général du Comité central du Parti communiste du Vietnam, Tô Lâm. |
Photo : VNA/CVN |
La force de la solidarité
Tô Lâm
Secrétaire général du Comité central du Parti communiste du Vietnam
''Solidarité, solidarité, grande solidarité – Succès, succès, grand succès'' - cette phrase immortelle du Président Hô Chi Minh, prononcée au milieu du XXe siècle, demeure d’une actualité brûlante. La force de la solidarité n’est pas seulement une leçon tirée de l’expérience millénaire de l’humanité ; elle est aussi la source des grandes réalisations de la société humaine. Cette vérité résonne de manière encore plus éclatante à travers près d’un siècle de révolution vietnamienne.
Dans la conjoncture actuelle, alors que l’ensemble du pays met en œuvre la politique de rationalisation et de simplification de l’appareil politique, de fusion des unités administratives - une véritable ''réorganisation du territoire'' - et de structuration d’un espace de développement durable pour la nation, l’esprit de solidarité doit être plus que jamais renforcé et valorisé.
Avec sa vision stratégique et sa fermeté dans le leadership, le Parti maintient résolument et promeut la grande union nationale, la considérant comme la ''source vive'', le ''fil rouge'' garantissant que toutes les lignes directrices et politiques du Parti et de l’État soient appliquées de manière cohérente, efficace et en réponse aux aspirations légitimes du peuple.
Solidarité, une vérité intemporelle
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À l'occasion du Nouvel An lunaire, le 12 février 1956, le Président Hô Chi Minh a rendu visite aux élèves de l'École des cadres des minorités ethniques. |
Photo : Archives/VNA/CVN |
Depuis l’aube de l’humanité, l’esprit communautaire et la solidarité ont été des éléments vitaux pour la survie et le développement social. Nos ancêtres ont résumé cette vérité dans un proverbe : ''Un arbre seul ne fait pas une colline, trois arbres réunis forment une montagne''. La force collective dépasse toujours celle des individus pris isolément ; un ''fagot de baguettes'' sera toujours plus solide que deux baguettes séparées. Lorsque les hommes s’unissent et œuvrent ensemble, leur force se multiplie exponentiellement, leur permettant de surmonter les pires épreuves. L’histoire universelle démontre qu’une communauté soudée est capable de triompher des catastrophes et des invasions, tandis que la division mène à la chute. C’est pourquoi le message ''La solidarité fait la force'' est devenu une vérité universelle, transmise à travers les époques et les systèmes sociaux depuis des millénaires..
Dans l’histoire de l’édification et de la défense du Vietnam, la solidarité a toujours été une tradition précieuse. De l’époque de Van Lang et Âu Lac aux dynasties Đinh, Lê, Lý, Trần jusqu’à aujourd’hui, la force de la solidarité a toujours été exaltée. Le développement de la société et la stabilité des frontières nationales ont été rendus possibles par cette solidarité. Nguyễn Trãi affirma : Quand on renverse un bateau, on découvre que la force du peuple est comme l’eau. Les généraux et les soldats, unis comme un père et ses fils, boivent l’eau du fleuve comme s’il s’agissait de vin doux.
Ces enseignements ont marqué à jamais la pensée de nos ancêtres : ''Facile cent fois, sans le peuple on échoue ; difficile mille fois, avec le peuple on réussit''.
Quand le peuple est uni, rien ne peut vaincre la nation.
Depuis que le Parti communiste a pris la direction du pays, la tradition d’union nationale s’est élevée à un nouveau niveau. Le Président Hô Chi Minh, héritier éminent de la pensée selon laquelle ''le peuple est le fondement de la nation'', a su appliquer de manière créative le marxisme-léninisme pour bâtir une large alliance entre ouvriers, paysans et intellectuels, ainsi qu’un front national uni. Il affirma :
''La solidarité est notre force. Si nous restons unis, nous surmonterons toutes les difficultés, tirerons profit de toutes les opportunités et accomplirons les tâches que le peuple nous confie''.(Hô Chi Minh – Œuvres complètes, vol. 9, Éditions politiques nationales, Hanoï, 2011, p. 145). L’histoire révolutionnaire du Vietnam a pleinement démontré cette vérité : chaque fois que le peuple est uni, le pays est libre et indépendant. À l’inverse, les périodes de division ont toujours abouti à des invasions. De la Révolution d’Août 1945 à la victoire de Điên Biên Phu en 1954, jusqu’à la Grande Victoire du Printemps 1975, tous ces moments historiques sont le fruit de la grande union nationale – de l’amour ardent pour la Patrie et de la volonté inébranlable : Plutôt tout sacrifier que de perdre notre pays ou de redevenir esclaves.
C’est la force du peuple, la solidarité de millions de Vietnamiens patriotes, qui a permis d’accomplir des exploits face aux plus grandes puissances impérialistes du XXe siècle. Le prestige, la puissance et la stature actuelle du Vietnam sur la scène internationale reposent en grande partie sur cette union nationale sans faille.
L’histoire vietnamienne n’est pas dépourvue de douloureuses leçons sur les ravages de la division. À la fin du XIXe siècle, la lutte contre le colonialisme a échoué en grande partie faute d’union nationale. Plusieurs soulèvements courageux ont été écrasés en raison du manque de coordination et de solidarité entre les forces révolutionnaires et leurs dirigeants.
La leçon du ''diviser pour mieux régner'' reste évidente : un simple conflit ou une scission interne peut suffire à affaiblir une force collective et ouvrir la voie à l’ennemi. L’effondrement de certains partis et régimes dans le monde montre également qu’une fois la cohésion du Parti et de la société rompue, quand les intérêts particuliers ou le sectarisme surpassent l’intérêt commun, la défaite devient inévitable. À l’inverse, une solidarité solide est une ''force invincible'', capable de surmonter tous les obstacles et de conduire à des victoires éclatantes.
Des succès et échecs dans l’histoire, il ressort une vérité fondamentale : la solidarité est une question de survie, un facteur décisif dans la réussite ou l’échec de toute révolution. C’est grâce à la solidarité que nous avons su transformer le danger en sécurité, déjouer toutes les manœuvres de division et de sabotage de l’ennemi. Au contraire, une désunion, même partielle, affaiblit la force de la révolution et détruit même ses acquis.C’est pourquoi construire et préserver la solidarité doit demeurer une priorité absolue pour toute organisation révolutionnaire authentique.
Solidarité, stratégie constante du Parti
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Le Président Hô Chi Minh reçoit et s'entretient cordialement avec les Vietnamiens d'outre-mer de France rentrés au pays pour participer à la construction de la Patrie (en octobre 1956). |
Photo : Archives/VNA/CVN |
Depuis sa fondation, le Parti communiste du Vietnam s’engage résolument en faveur d’une grande union nationale, la considérant à la fois comme un objectif et une source essentielle de force pour garantir le succès de la cause révolutionnaire. Le Parti a toujours affirmé que le maintien de la solidarité interne était un principe vital dans la construction du Parti. Tout au long du processus révolutionnaire, de nombreuses résolutions et directives ont été adoptées pour consolider et promouvoir cette force de solidarité.
Dès 1943, le Parti publiait le Programme culturel vietnamien, fondé sur trois principes d’action, dont la ''popularisation'' – signifiant que toutes les actions doivent servir l’intérêt du peuple et mobiliser largement les masses. Le 3 février 1969, dans son texte ''Renforcer la moralité révolutionnaire, balayer l'individualisme'' (Œuvres complètes de Hô Chi Minh, tome 15, p. 546), le Président Hô Chi Minh mettait en garde contre les tendances au clanisme et au localisme, ennemies de la solidarité, qu’il fallait résolument éradiquer. Juste avant sa disparition, dans son Testament (1969), il exhortait le Parti à préserver la solidarité comme on protège la prunelle de ses yeux. Fidèle à cet enseignement, le Parti a érigé le maintien de la solidarité interne en principe fondamental et exigence prioritaire dans la construction du Parti. La force d’un peuple réside dans la solidarité et l’union entre l’administration et le peuple.
Le Parti a également adopté des résolutions spécialisées sur la promotion de la grande union nationale. La Résolution N°23-NQ/TW du 7ᵉ Plénum du IXᵉ Congrès (2003) posait pour la première fois la tâche de ''promouvoir la grande union nationale pour un peuple prospère, un pays puissant, une société équitable, démocratique et civilisée''. Vingt ans plus tard, lors du 8ᵉ Plénum du XIIIᵉ Congrès (2023), le Parti a réaffirmé cette ligne avec la Résolution N°43-NQ/TW sur le renforcement de la tradition et de la force de la grande union dans la nouvelle ère. Cette résolution souligne une fois encore que la grande union nationale est une tradition précieuse, une stratégie constante du Parti, une force immense et un facteur décisif dans toute victoire pour l’édification et la défense de la Patrie. Elle indique également que l’union au sein du Parti est le noyau de la solidarité dans l’ensemble du système politique et de la société : le Parti, de l’échelon central jusqu’à la base, doit faire preuve d’une véritable union dans l’esprit comme dan l’action ; chaque cadre et membre du Parti doit placer l’intérêt général au-dessus de tout, faire respecter strictement la discipline, prévenir toutes les manifestations de factionnalisme et d’''intérêts de groupe'' qui portent atteinte à la solidarité.
Une exigence inévitable du renouveau
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Le Président Hô Chi Minh rend visite et s'entretient avec des coreligionnaires catholiques dans le hameau de Thach Bich, commune de Bich Hoa, district de Thanh Oai, Hà Dông (aujourd'hui Hanoï) le 5 décembre 1959. |
Photo : Archives/VNA/CVN |
Notre pays mène actuellement, avec détermination, la politique de renouveau définie dès le VIᵉ Congrès national du Parti, en particulier une réforme en profondeur de l’organisation du système politique : rationalisation des unités administratives à tous les niveaux et mise en place d’un modèle d’administration locale à deux niveaux. L’objectif est de simplifier l’appareil administratif, d’améliorer l’efficacité et l’efficience de la gestion publique, tout en renforçant la décentralisation et l’autonomie des autorités locales. Ce nouveau modèle ne se limite pas à supprimer les niveaux intermédiaires inutiles ; il réorganise aussi l’espace de développement durable pour rapprocher les autorités des citoyens, au service du peuple. Le niveau central clarifie les compétences et accorde davantage d’initiatives aux autorités locales, permettant à chaque territoire d’innover et de se développer en adéquation avec sa réalité.
À tous les niveaux, du ressort central au locale, la mise en œuvre s’accélère avec vigueur et de manière synchronisée, dans une double perspective : rationaliser l’organisation et améliorer la qualité du service public, afin de mieux répondre aux besoins de la population. Toutefois, cette restructuration a des répercussions sur une partie des cadres, membres du Parti, fonctionnaires... Elle exige équité, consensus et une forte volonté politique, ainsi que le sacrifice d’intérêts personnels. Sans solidarité de haut en bas, l’application risque de rencontrer de nombreuses difficultés.
C’est pourquoi la solidarité dans l’ensemble du système politique constitue la clé du succès de cette réforme. Une coordination étroite entre les institutions centrales et les administrations locales est indispensable pour surmonter rapidement les obstacles. L’adhésion des cadres, fonctionnaires et du peuple pose une base stable pour mettre en œuvre efficacement ce nouveau modèle. Jamais l’exigence d’''une volonté commune entre le haut et le bas, une communication fluide dans tout le système'' n’a été aussi cruciale qu’à présent.
Dans le processus de réorganisation et de restructuration de l’appareil administratif, l’absence de solidarité peut engendrer de nombreux défis, voire des risques de division. L’inquiétude surgit notamment au sein du corps des cadres : en cas de fusion, certains peuvent perdre leur poste ou être affectés ailleurs. Sans politiques claires et raisonnables en faveur des personnels touchés par la réorganisation, un climat de mécontentement, voire d’hypocrisie apparente, peut se développer, fragilisant ainsi la cohésion interne. À cela s’ajoute le localisme, un facteur non négligeable : chaque individu conserve un attachement profond et une fierté pour sa terre natale ou les lieux auxquels il a été lié. La fusion des localités suscite des interrogations sur le nouveau nom, le siège administratif, ou encore la répartition des ressources humaines, autant d’éléments susceptibles d’alimenter des comparaisons et des sentiments d’injustice. Les différences culturelles, les habitudes de vie et les écarts de développement entre les unités administratives fusionnées constituent également un défi. Fusionner une province montagneuse avec une province de plaine, ou une province ''riche'' avec une plus ''pauvre'', exige des dirigeants une vision stratégique et un profond sens de l’équité, afin d’assurer une répartition équilibrée des ressources et des intérêts. Un manque d’équité dans la répartition des ressources humaines pourrait entraîner des inégalités régionales, ébranlant l’union nationale. De surcroît, les forces hostiles n’hésitent pas à exploiter les difficultés, à propager des fausses informations dans le but de semer la discorde entre le Parti, l’État et le peuple. Un manque de vigilance de la part des cadres, des membres du Parti et de la population pourrait compromettre l’objectif de réorganisation et nuire à la stabilité et au développement du pays.
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Le Président Hô Chi Minh et des agriculteurs de la commune de Dai Thanh, province de Hà Dông (aujourd'hui Hanoï), s"unissent pour lutter contre la sécheresse, le 12 janvier 1958. |
Photo : VNA/CVN |
En résumé, l’absence de solidarité et de consensus peut dévier ou freiner le bon fonctionnement de l’appareil administratif. Dès lors, préserver la solidarité devient une priorité stratégique, une condition indispensable à la réussite de toute réforme. Pour maintenir et renforcer la solidarité dans ce nouvel espace de développement, il est nécessaire de mettre en œuvre un ensemble cohérent de mesures :
Premièrement, renforcer le leadership et la direction unifiée. Dans cette phase de réorganisation du système politique, le rôle dirigeant des instances centrales comme locales doit être pleinement assumé. Les comités du Parti et les autorités locales doivent veiller à l’application uniforme des résolutions, conclusions, directives et orientations émanant du ressort central, et éviter le localisme et la violation des réglementations générales.. Parallèlement, il convient de valoriser le rôle du Front de la Patrie et des organisations sociopolitiques dans la mobilisation et le rassemblement du peuple, afin de créer un large consensus. Chaque politique ou décision doit être centrée sur les intérêts du peuple, renforçant le lien organique entre le Parti et la population, pour que celle-ci comprenne, approuve et soutienne activement les réformes.
Deuxièmement, promouvoir l’exemplarité des cadres et des membres du Parti, en particulier des dirigeants. Chaque cadre et membre du Parti doit être un exemple de garder la solidarité, plaçant les intérêts collectifs au-dessus des intérêts personnels. L’attribution des postes après la fusion doit être transparente, équitable, respectueuse des critères établis, et implacable face aux manifestations d’”intérêts de groupes”, localisme ou de régionalisme. Parallèlement, la discipline administrative doit être renforcée pour corriger en temps utile les comportements négatifs ou attentistes durant la période de transition. Il faut également mettre à l’honneur les individus et collectifs qui acceptent de sacrifier leurs intérêts personnels pour le bien commun, en vue de diffuser une dynamique positive de solidarité à l’échelle du système tout entier.
Troisièmement, continuer à améliorer les politiques et la législation en vue de garantir une répartition équitable des bénéfices sociaux et de consolider l’union nationale dans le cadre de la restructuration. Il faut adopter et appliquer des politiques de soutien adaptées aux localités et personnels directement impactés par les fusions : aides financières, indemnités, récompenses, incitations, programmes de bien-être social, et investissements dans les infrastructures des nouvelles entités administratives. Il est essentiel d’actualiser et d’harmoniser la législation afin d’éliminer les obstacles juridiques. Les mécanismes de supervision et de contrôle de l’application des lois doivent être renforcés, avec des sanctions fermes contre toute infraction, afin de garantir l’état de droit, restaurer la confiance et générer l’adhésion populaire.
Quatrièmement, intensifier le travail de sensibilisation et de communication auprès de l’ensemble des cadres, membres du Parti et couches sociales sur l’importance et les bienfaits de la rationalisation de l’appareil politique. Cela permet à chacun de comprendre qu’il s’agit d’une orientation stratégique, nécessaire au développement durable à long terme du pays, et donc d’adhérer volontairement à sa mise en œuvre. La communication doit habilement conjuguer éducation historique sur l’union nationale et explication claire des mesures concrètes, avec des informations transparentes sur le calendrier et les questions sensibles de personnel et de financement. Parallèlement, il faut lutter activement contre les discours erronés et les manipulations des forces hostiles, tout en contrant rapidement les rumeurs susceptibles de déstabiliser l’ordre social. Le dialogue direct entre les dirigeants et la population doit être encouragé pour lever les doutes, apaiser les inquiétudes et renforcer la confiance et l’union sociale.
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Les personnes se présentent au guichet unique du Comité populaire du district de Hoà Vang, à Dà Nang (Centre). |
Photo : VNA/CVN |
Cinquièmement, affirmer pleinement la ''conscience partisane'' et la fermeté politique de chaque organisation et membre du Parti. Tous les cadres et les membres du Parti doivent placer, avant tout, l’intérêt général de la nation et du Parti, respecter strictement le principe du centralisme démocratique et la discipline du Parti. Les divergences doivent être débattues ouvertement, mais une fois la décision prise, tous doivent s’unir pour la mettre en œuvre avec rigueur. Il ne saurait être question de laisser place au factionnalisme ou au localisme. Les dirigeants des organisations du Parti doivent jouer un rôle central dans la consolidation de la solidarité, être des modèles de résolution des conflits, tout en faisant preuve d’une vigilance extrême et d’une fermeté sans faille face aux tentatives de division ou de sabotage. Ce n’est qu’en assurant une cohésion idéologique et opérationnelle du haut vers le bas, de l’intérieur vers l’extérieur, que le bloc d’union du Parti et du peuple pourra se renforcer, constituant ainsi la force motrice pour mener à bien la réorganisation et faire entrer le pays dans une nouvelle ère de développement.
La solidarité a été, est et sera la force invincible de la révolution vietnamienne. Dans cette période critique de restructuration de l’appareil d’État, cet esprit doit plus que jamais être approfondi et mis en œuvre. L’histoire nous confie une mission capitale : bâtir une administration rationalisée, efficace et performante, capable de répondre aux exigences du développement rapide et durable dans la nouvelle conjoncture. Pour atteindre cet objectif, il n’existe pas de meilleure arme que l’unanimité de tout le système politique et le soutien du peuple. Comme l’a résumé le Président Hô Chi Minh : ''Solidarité, solidarité, grande solidarité – Succès, succès, grand succès !''
Sous la direction clairvoyante du Parti, avec la force collective et l’intelligence partagée, appuyés par la tradition d’union nationale bien ancrée, la rationalisation de l’appareil politique, la restructuration des unités administratives et la réorganisation des administrations locales à deux niveaux ne manqueront pas d’aboutir à des résultats positifs. Cela posera le fondement d’une nouvelle étape de développement national telle que définie par la Résolution du XIIIe Congrès du Parti. Une fois encore, la force de la solidarité nous permettra de surmonter les épreuves, de transformer les défis en opportunités, et de conduire le pays avec assurance vers une ère nouvelle, l’ère de prospérité, de développement durable et d’intégration réussie, au service du bonheur et du bien-être du peuple.
VNA/CVN