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Scène en ruines après une frappe aérienne israélienne sur le camp de réfugiés de Maghazi, dans la bande de Gaza, le 3 janvier 2025. |
Photo : Xinhua/VNA/CVN |
Dans son communiqué, le service de presse a qualifié l'escalade de "dangereuse et brutale", ciblant des civils non armés et des zones résidentielles, en particulier dans la ville de Gaza.
De nombreuses victimes, tuées ou blessées, restent coincées sous les décombres, les infrastructures endommagées entravant leur rétablissement et l'accès aux hôpitaux.
Les responsables de la défense civile palestinienne à Gaza ont confirmé que les frappes aériennes israéliennes s'étaient violemment intensifiées au cours des trois derniers jours, que les résidents locaux ont décrits comme une période extraordinairement difficile.
Le communiqué tient l'armée israélienne pour entièrement responsable de ces "crimes horribles" et critique également l'administration américaine pour avoir fourni à Israël des armes et un soutien politique.
Il appelle la communauté internationale et le Conseil de sécurité des Nations unies à respecter leurs obligations juridiques et morales en envoyant des équipes d'enquête indépendantes pour documenter ces "crimes odieux" et veiller à ce que leurs auteurs soient tenus de rendre des comptes.
L'intensification des frappes aériennes israéliennes sur Gaza a commencé jeudi matin 2 janvier après que le ministre de la Défense, Israël Katz, a averti mercredi 1er janvier qu'il ferait usage d'une "force sans précédent" si le Hamas ne libérait pas les otages et ne cessait pas de tirer des roquettes sur Israël.
VNA/CVN