La cérémonie s'est déroulée au Palais royal de Casablanca en présence du roi Mohammed VI et du prince héritier d'Abou Dhabi, Cheikh Mohammed ben Zayed Al-Nahyane, qui effectue une visite de deux jours au Maroc, a rapporté l'agence officielle MAP.
Les 21 accords, signés par un grand nombre de ministres des deux pays, englobent de multiples domaines de coopération, de la diplomatie à l'éducation en passant par l'agriculture, le tourisme, la religion, la santé, les énergies, l'environnement ou encore l'urbanisme.
Il comprend en particulier un accord "dans le domaine sécuritaire et la lutte contre le terrorisme". Si le contenu n'est pas spécifié, le Maroc participe déjà, "sous commandement des Émirats", à des frappes aériennes de la coalition contre le groupe EI.
Dans le domaine économique, un des accords porte sur le rachat par Maroc Telecom des parts d'Etisalat dans des sociétés africaines, qui avait été annoncé en mai dernier pour un montant de 650 millions de dollars.
Etisalat est devenu l'an dernier l'actionnaire majoritaire de Maroc Telecom via l'acquisition des parts détenus jusque-là par le Français Vivendi, pour 4,2 milliards d'euros.
Avant cette cérémonie, le prince héritier d'Abou Dhabi, arrivé à la mi-journée à Casablanca, avait eu un entretien en tête-à-tête avec le souverain marocain, d'après la MAP.
Durant sa visite au Maroc, il doit inaugurer un hôpital puis une usine de dessalement d'eau de mer près d'El Jadida (100 km au sud-ouest de Casablanca).
En 2011, le Conseil de coopération du Golfe (CCG), auquel appartiennent les Émirats, avait proposé au Maroc ainsi qu'à la Jordanie, de rejoindre l'organisation. Si cette offre n'a pas abouti, le CCG a créé au cours des mois suivants un fonds de cinq milliards de dollars en faveur de Rabat et Amman.
Les Émirats, qui ont contribué à ce fonds à hauteur de 1,25 milliard de dollars, affirment être devenus en 2014 le premier investisseur au sein de la Bourse de Casablanca. L'année précédente, le montant des investissements émiratis au Maroc avaient atteint 1,3 md de dollars.
Les 21 accords, signés par un grand nombre de ministres des deux pays, englobent de multiples domaines de coopération, de la diplomatie à l'éducation en passant par l'agriculture, le tourisme, la religion, la santé, les énergies, l'environnement ou encore l'urbanisme.
Le roi du Maroc, Mohammed VI (droite), et le prince héritier d'Abou Dhabi, Cheikh Mohammed ben Zayed Al-Nahyane (gauche), le 17 mars Casablanca. Photo : AFP/VNA/CVN |
Il comprend en particulier un accord "dans le domaine sécuritaire et la lutte contre le terrorisme". Si le contenu n'est pas spécifié, le Maroc participe déjà, "sous commandement des Émirats", à des frappes aériennes de la coalition contre le groupe EI.
Dans le domaine économique, un des accords porte sur le rachat par Maroc Telecom des parts d'Etisalat dans des sociétés africaines, qui avait été annoncé en mai dernier pour un montant de 650 millions de dollars.
Etisalat est devenu l'an dernier l'actionnaire majoritaire de Maroc Telecom via l'acquisition des parts détenus jusque-là par le Français Vivendi, pour 4,2 milliards d'euros.
Avant cette cérémonie, le prince héritier d'Abou Dhabi, arrivé à la mi-journée à Casablanca, avait eu un entretien en tête-à-tête avec le souverain marocain, d'après la MAP.
Durant sa visite au Maroc, il doit inaugurer un hôpital puis une usine de dessalement d'eau de mer près d'El Jadida (100 km au sud-ouest de Casablanca).
En 2011, le Conseil de coopération du Golfe (CCG), auquel appartiennent les Émirats, avait proposé au Maroc ainsi qu'à la Jordanie, de rejoindre l'organisation. Si cette offre n'a pas abouti, le CCG a créé au cours des mois suivants un fonds de cinq milliards de dollars en faveur de Rabat et Amman.
Les Émirats, qui ont contribué à ce fonds à hauteur de 1,25 milliard de dollars, affirment être devenus en 2014 le premier investisseur au sein de la Bourse de Casablanca. L'année précédente, le montant des investissements émiratis au Maroc avaient atteint 1,3 md de dollars.
AFP/VNA/CVN