>>Les États-Unis ne veulent pas d'un effondrement du régime syrien
"Au final, il faudra négocier. Nous avons toujours été pour les négociations dans le cadre du processus (de paix) de Genève I", a déclaré M. Kerry dans une interview diffusée sur la chaîne de télévision CBS dimanche 15 mars.
Washington travaille à "relancer" les efforts visant à trouver une solution politique au conflit, a dit le chef de la diplomatie américaine.
Dans l'interview sur CBS, M. Kerry a du reste reconnu qu'il n'entendait pas relâcher la pression sur le président syrien "pour bien lui faire comprendre que tout le monde est déterminé à trouver une issue politique".
Jusqu'ici pourtant, le gouvernement de Barack Obama se montrait plus préoccupé par la lutte contre le groupe État islamique, qui contrôle des régions entières d'Irak et de Syrie, et appelait de façon constante au départ de M. Assad.
Reste à s'entendre sur les modalités de négociations avec Damas.
Les États-Unis ont participé à l'organisation de pourparlers entre l'opposition syrienne et des émissaires de Damas à Genève au début de l'année dernière.
Mais les deux cycles de négociations n'avaient produit aucun résultat. "Assad ne voulait pas négocier", a asséné John Kerry. "S'il est prêt à engager des négociations sérieuses sur la façon d'appliquer Genève I, bien sûr", a répondu M. Kerry lorsque la journaliste de CBS lui a demandé s'il était disposé à parler au président syrien. "Nous l'encourageons à le faire".
Le secrétaire d'État américain John Kerry à son arrivée à Genève, le 15 mars. Photo : AFP/VNA/CVN |
"Au final, il faudra négocier. Nous avons toujours été pour les négociations dans le cadre du processus (de paix) de Genève I", a déclaré M. Kerry dans une interview diffusée sur la chaîne de télévision CBS dimanche 15 mars.
Washington travaille à "relancer" les efforts visant à trouver une solution politique au conflit, a dit le chef de la diplomatie américaine.
Dans l'interview sur CBS, M. Kerry a du reste reconnu qu'il n'entendait pas relâcher la pression sur le président syrien "pour bien lui faire comprendre que tout le monde est déterminé à trouver une issue politique".
Jusqu'ici pourtant, le gouvernement de Barack Obama se montrait plus préoccupé par la lutte contre le groupe État islamique, qui contrôle des régions entières d'Irak et de Syrie, et appelait de façon constante au départ de M. Assad.
Reste à s'entendre sur les modalités de négociations avec Damas.
Les États-Unis ont participé à l'organisation de pourparlers entre l'opposition syrienne et des émissaires de Damas à Genève au début de l'année dernière.
Mais les deux cycles de négociations n'avaient produit aucun résultat. "Assad ne voulait pas négocier", a asséné John Kerry. "S'il est prêt à engager des négociations sérieuses sur la façon d'appliquer Genève I, bien sûr", a répondu M. Kerry lorsque la journaliste de CBS lui a demandé s'il était disposé à parler au président syrien. "Nous l'encourageons à le faire".
AFP/VNA/CVN