>>Syrie : Washington devra parler à Assad pour mettre fin au conflit, dit Kerry
"Nous écoutons les déclarations, mais nous devons attendre les actions, et alors nous pourrons décider", a déclaré M. Assad.
Ces propos du président syrien apparaissent comme une réponse à la déclaration faite par M. Kerry dimanche 15 mars selon laquelle Washington veut "relancer" les négociations avec M. Assad pour mettre fin au conflit en Syrie.
"Tout changement international serait une chose positive si c'était honnête et si cela se traduisait par des résultats sur le terrain", a indiqué M. Assad.
Tout changement dans les politiques internationales à l'égard de la Syrie devrait commencer en premier lieu par l'arrêt du soutien aux terroristes, l'arrêt de leur financement et de la fourniture d'armes, et par une pression accrue sur les pays européens et les pays de la région qui sont affiliés à l'Occident, a souligné M. Assad. "Alors nous pourrons dire que ce changement est un réel changement."
En outre, s'exprimant sur les perspectives à venir en Syrie, M. Assad a déclaré : "Concernant la situation en Syrie, nous n'avons pas d'autre choix que de défendre notre pays."
Le président a ajouté que les Syriens étaient les seuls à pouvoir décider si leur président devait rester au pouvoir ou s'en aller, et que cette décision ne relevait pas des puissances internationales.
Le président syrien Bachar al-Assad, le 16 mars à Damas. Photo par Sana/AFP |
"Nous écoutons les déclarations, mais nous devons attendre les actions, et alors nous pourrons décider", a déclaré M. Assad.
Ces propos du président syrien apparaissent comme une réponse à la déclaration faite par M. Kerry dimanche 15 mars selon laquelle Washington veut "relancer" les négociations avec M. Assad pour mettre fin au conflit en Syrie.
"Tout changement international serait une chose positive si c'était honnête et si cela se traduisait par des résultats sur le terrain", a indiqué M. Assad.
Tout changement dans les politiques internationales à l'égard de la Syrie devrait commencer en premier lieu par l'arrêt du soutien aux terroristes, l'arrêt de leur financement et de la fourniture d'armes, et par une pression accrue sur les pays européens et les pays de la région qui sont affiliés à l'Occident, a souligné M. Assad. "Alors nous pourrons dire que ce changement est un réel changement."
En outre, s'exprimant sur les perspectives à venir en Syrie, M. Assad a déclaré : "Concernant la situation en Syrie, nous n'avons pas d'autre choix que de défendre notre pays."
Le président a ajouté que les Syriens étaient les seuls à pouvoir décider si leur président devait rester au pouvoir ou s'en aller, et que cette décision ne relevait pas des puissances internationales.
Xinhua/VNA/CVN