>> Surveillance renforcée des maladies respiratoires aux postes frontaliers
Le vice-ministre de la Santé, Dô Xuân Tuyên. |
Photo : VNA/CVN |
Selon le vice-ministre de la Santé, Dô Xuân Tuyên, le 4 janvier 2025, le ministère chinois des Affaires étrangères avait officiellement annoncé que les infections respiratoires qui se propageaient dans ce pays étaient des maladies courantes, habituelle pour la saison hivernale, et non un événement médical inhabituel.
Selon l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), Pékin signale que «le taux d’utilisation des hôpitaux est actuellement inférieur à celui de l’année dernière à la même époque et qu’aucune déclaration d’urgence n’a été faite et qu’aucune mesure n’a été prise».
Le HMPV provoque généralement des symptômes semblables à ceux d’un rhume, tels que toux, respiration sifflante, nez qui coule ou mal de gorge. Dans certains cas, il peut entraîner des maladies plus graves comme la bronchite ou la pneumonie.
Au Vietnam, le ministère de la Santé surveille et met à jour quotidiennement la situation via un système de surveillance, avec une coordination et un partage étroits avec l'OMS et les Centre de contrôle des maladies des États-Unis.
Toujours selon le vice-ministre Dô Xuân Tuyên, le ministère de la Santé a publié des recommandations et des messages invitant la population à prendre de manière proactive des mesures pour prévenir et contrôler les épidémies du printemps, en les envoyant aux Services de la santé de niveau provincial pour mise en œuvre.
S’agissant des projets de construction des 2es campus des hôpitaux Bach Mai et Viêt Duc qui ont rencontré des difficultés dans le processus de mise en œuvre, Dô Xuân Tuyên a déclaré qu'à partir de début novembre 2024, les entrepreneurs avaient repris la construction.
"Nous nous efforçons d’œuvrer en vue d’une mise en service en 2025", a-t-il indiqué.
VNA/CVN