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Un militant du groupe État islamique sous le feu d'une attaque aérienne de la coalition dans la ville-frontière syrienne de Kobané, le 23 octobre.
"Depuis le début des frappes (le 23 septembre), au moins 1.171 personnes ont été tuées par les frappes arabes et internationales sur la Syrie, dont 1.119 jihadistes du groupe État islamique et du Front al-Nosra", a annoncé cette organisation.
Selon son décompte, les frappes ont tué 1.046 membres de l'EI, en grande majorité des non-Syriens, 72 du Front al-Nosra, 1 prisonnier jihadiste dont on ignore à quelle organisation il était affilié, et 52 civils.
Accusé de crimes contre l'Humanité, l'EI compte des dizaines de milliers de combattants et est responsable de viols, rapts, exécutions et crucifixions dans les vastes régions sous son contrôle en Syrie comme en Irak.
Par ailleurs, 29 civils, dont neuf enfants, ont été tués mardi 23 décembre par des raids de l'armée syrienne : 14 (dont 5 enfants) à Raqa, "capitale" de l'EI, dans le Nord de la Syrie, 5 (dont 4 enfants) à Douma en banlieue de Damas, 1 à Dael (Sud), 1 Jabal Zawyia (Nord-Ouest) et 2 à Bab (près d'Alep), selon l'OSDH.