>> République de Corée : les principaux membres du personnel de la présidence démissionnent
Des gens regardent un discours télévisé du président sud-coréen Yoon Suk-yeol sur un écran dans une gare à Séoul, en République de Corée, le 7 décembre. |
Photo : Xinhua/VNA/CVN |
La police n'a pas non plus exclu d'interroger le président Yoon sur des accusations de trahison liées à sa brève déclaration de la loi martiale la semaine dernière, a déclaré à la presse Woo Jong-soo, un haut responsable de la police.
Plus tôt dans la journée, le principal parti d'opposition, le Parti démocrate, a présenté des motions visant à enquêter sur les accusations d'insurrection présumée de M. Yoon et sur le scandale impliquant son épouse.
Le Parti démocrate a proposé de nommer des conseillers spéciaux pour enquêter sur la déclaration éphémère de la loi martiale par M. Yoon, ainsi que sur son épouse Kim Keon-hee en relation avec diverses allégations.
Par ailleurs, le ministère de la Défense a rappelé lundi 9 décembre que le contrôle des forces militaires du pays revenait toujours au président Yoon, selon une autre dépêche de Yonhap.
Xinhua/VNA/CVN