Selon les gestionnaires, c'est un modèle qui apporte les grands intérêts aux éleveurs. Cependant, pour atteindre un rendement élevé, ces derniers doivent répondre à de stricts critères en technique, environnement écologique...
Selon le rapport du Comité populaire de Cân Gio, actuellement, ce district recense 77 foyers d'élevage des nids d'hirondelles avec une superficie totale de 43.688 m². En 2010, leur production a atteint 400 kg. Le prix de vente est de 35 millions de dôngs le kilo. Le chiffre d'affaires s'élève à 14 milliards de dôngs. Ce métier contribuera non seulement à la protection de l'environnement mais aussi à la valorisation des potentialités des localités. Donc, ces dernières temps, plusieurs individus et compagnes ont beaucoup investi dans l'élevage des salanganes à Cân Gio.
Selon les experts, la qualité de ces nids issus de conditions artificielles est très bonne. Ils notent cependant que la teneur en fer, magnésium et calcium est quand même inférieure aux nids "sauvages". C'est pourquoi, la compagnie fait actuellement des études pour reconstituer des cavernes et rochers similaires à l'habitat naturel des oiseaux afin d'élever la qualité des nids. Remède fortifiant, le nid d'hirondelle se vend de plus en plus cher.
Les perspectives d'élevage des salanganes dans les maisons des pays d'Asie du Sud-Est sont belles. Actuellement, le métier de l'élevage des salanganes y est très développé. Le Vietnam compte 30 provinces où ce métier se développe. Ce sont des localités dans les régions côtières, deltas et hauts plateaux du Centre. Toutefois, ce métier a aussi des risques. Selon Nguyên Phuoc Trung, directeur adjoint du Service de l'agriculture et du développement rural, avant de renforcer l'élevage des nids, il faut avoir les études pour évaluer précisément l'efficacité de ce métier.
Truong Giang/CVN