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Un accord est "possible", ont déclaré séparément et à quelques minutes d'intervalle des représentants des deux camps réunis à Lausanne.
Un accord avec l'Iran sur son programme nucléaire est "possible", mais il doit mettre la bombe atomique "hors de portée" de ce pays, a estimé en arrivant à Lausanne le chef de la diplomatie britannique Philipp Hammond, en disant espérer "un succès dans les heures à venir".
"Parvenir à un accord est faisable. Des solutions ont été trouvées sur de nombreuses questions. Nous travaillons encore sur deux ou trois questions et nous n'avons pas encore trouvé les solutions", a déclaré en écho le négociateur iranien Abbas Araghchi.
Les six chefs de la diplomatie des grandes puissances (États-Unis, Grande-Bretagne, Russie, France, Russie, Chine et Allemagne) sont réunis pour, selon un diplomate occidental, "donner la dernière poussée politique" susceptible de faire balancer une négociation sur le fil du rasoir.
"Le message des 6 à l'Iran, c'est qu'on est là pour réussir", a fait valoir ce diplomate. De son côté, le Russe Sergueï Lavrov, peu réputé pour être langue de bois, a déclaré à son arrivée qu'il n'était "pas payé pour être optimiste", avant d'entamer un entretien avec son homologue américain John Kerry.
Toute la journée, les bilatérales entre ministres et réunions de travail entre négociateurs se sont enchainées et, selon des diplomates occidentaux, un compromis s'esquissait sur plusieurs points clés de la négociation, assertion rejetée par la partie iranienne qui a répété que des questions devaient "toujours être réglées".
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La chef de la diplomatie de l'Union européenne, Federica Mogherini, et le ministre iranien des Affaires étrangères Javad Zarif à Lausanne, le 29 mars. Photo : AFP/VNA/CVN |
Un accord est "possible", ont déclaré séparément et à quelques minutes d'intervalle des représentants des deux camps réunis à Lausanne.
Un accord avec l'Iran sur son programme nucléaire est "possible", mais il doit mettre la bombe atomique "hors de portée" de ce pays, a estimé en arrivant à Lausanne le chef de la diplomatie britannique Philipp Hammond, en disant espérer "un succès dans les heures à venir".
"Parvenir à un accord est faisable. Des solutions ont été trouvées sur de nombreuses questions. Nous travaillons encore sur deux ou trois questions et nous n'avons pas encore trouvé les solutions", a déclaré en écho le négociateur iranien Abbas Araghchi.
Les six chefs de la diplomatie des grandes puissances (États-Unis, Grande-Bretagne, Russie, France, Russie, Chine et Allemagne) sont réunis pour, selon un diplomate occidental, "donner la dernière poussée politique" susceptible de faire balancer une négociation sur le fil du rasoir.
"Le message des 6 à l'Iran, c'est qu'on est là pour réussir", a fait valoir ce diplomate. De son côté, le Russe Sergueï Lavrov, peu réputé pour être langue de bois, a déclaré à son arrivée qu'il n'était "pas payé pour être optimiste", avant d'entamer un entretien avec son homologue américain John Kerry.
Toute la journée, les bilatérales entre ministres et réunions de travail entre négociateurs se sont enchainées et, selon des diplomates occidentaux, un compromis s'esquissait sur plusieurs points clés de la négociation, assertion rejetée par la partie iranienne qui a répété que des questions devaient "toujours être réglées".
AFP/VNA/CVN