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| Le siège de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) à Vienne, en Autriche. |
| Photo : Xinhua/VNA/CVN |
S'exprimant lors d'un évènement sur les octrois de licences gazières et pétrolières à Bagdad, M. Abdul Ghani a affirmé que l'Irak avait déjà fait suffisamment de réductions volontaires de sa production pétrolière et n'accepterait "aucun renouvellement" proposé par l'OPEC+.
L'OPEC+, qui comprend l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), la Russie et d'autres producteurs non membres de l'OPEC, s'efforce de faire en sorte que ses membres réduisent leur production afin de stabiliser les prix du pétrole dans un contexte de faible demande mondiale.
L'Irak a annoncé en mars qu'il prolongerait la réduction volontaire de sa production pétrolière, conformément à un précédent accord avec l'OPEC+, jusqu'au deuxième trimestre de l'année 2024.
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| Une raffinerie irakienne. |
| Photo: AFP/VNA/CVN |
En tant que deuxième grand producteur de pétrole de l'OPEC, l'Irak possède plus de 145 milliards de barils de réserves prouvées de pétrole et environ 132 billions de pieds cubes de réserves prouvées de gaz naturel.
L'économie irakienne dépend fortement de ses exportations de pétrole brut, qui constituent plus de 90% de son revenu.
Xinhua/VNA/CVN
