>>François Hollande au Qatar pour la signature du contrat Rafale
Aux côtés de l'émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani, M. Hollande a estimé que le contrat est une preuve de la "fiabilité" et de la "crédibilité" de son pays dans la région.
"Good choice" (Bon choix), a-t-il lancé en anglais à l'adresse du général qatari Ahmad al-Malki, qui a supervisé les négociations avant de signer le contrat avec le Pdg de Dassault Aviation, constructeur du Rafale, Eric Trappier.
M. Hollande a assuré qu'il n'y avait pas eu de "contreparties" françaises à cette transaction, démentant des informations de presse sur l'obtention par le Qatar de droits de trafic aérien supplémentaires vers la France.
Un contrat distinct a également été signé à Doha par le général Malki et le Pdg du fabricant européen de missiles MBDA, Antoine Bouvier, qui fournit l'armement de l'avion de combat.
Un autre accord, confidentiel et d'État à État, portant sur la formation de 36 pilotes et d'une centaine de mécaniciens, mais traitant aussi d'autres questions comme l'instruction d'officiers de renseignement, a été paraphé dans la foulée par le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, et son homologue qatari.
Il s'agit du troisième contrat de vente du Rafale à l'étranger, après l'Égypte (24 appareils) et l'Inde (36).
Le président François Hollande (gauche) et l'émir du Qatar, cheikh Tamin ben Hamad Al-Thani, le 4 mai à Doha. Photo : AFP/VNA/CVN |
Aux côtés de l'émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani, M. Hollande a estimé que le contrat est une preuve de la "fiabilité" et de la "crédibilité" de son pays dans la région.
"Good choice" (Bon choix), a-t-il lancé en anglais à l'adresse du général qatari Ahmad al-Malki, qui a supervisé les négociations avant de signer le contrat avec le Pdg de Dassault Aviation, constructeur du Rafale, Eric Trappier.
M. Hollande a assuré qu'il n'y avait pas eu de "contreparties" françaises à cette transaction, démentant des informations de presse sur l'obtention par le Qatar de droits de trafic aérien supplémentaires vers la France.
Un contrat distinct a également été signé à Doha par le général Malki et le Pdg du fabricant européen de missiles MBDA, Antoine Bouvier, qui fournit l'armement de l'avion de combat.
Un autre accord, confidentiel et d'État à État, portant sur la formation de 36 pilotes et d'une centaine de mécaniciens, mais traitant aussi d'autres questions comme l'instruction d'officiers de renseignement, a été paraphé dans la foulée par le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, et son homologue qatari.
Il s'agit du troisième contrat de vente du Rafale à l'étranger, après l'Égypte (24 appareils) et l'Inde (36).
AFP/VNA/CVN