>>La Grèce doit envoyer à l'UE sa liste de réformes avec un jour de retard
>>Grèce : les réformes rapporteraient plus de 7 milliards d'euros à Athènes
>>Athènes garde la tête hors de l'eau, mais sous haute surveillance
Cet accord de principe de l'Eurogoupe a été annoncé sur Twitter par le vice-président de la Commission européenne en charge de l'Euro, Valdis Dombrovskis.
"Après une téléconférence de l'Eurogroupe" pour examiner la liste des réformes présentée par Athènes, "les procédures nationales pour l'extension du programme grec peuvent commencer", a écrit M. Dombrovskis, faisant notamment référence au feu vert nécessaire du Parlement allemand.
Les consultations des ministres ont duré à peine plus d'une heure, après un premier aval donné dans la matinée par les institutions créancières (UE, BCE et FMI), l'ex-troïka à la feuille de route soumise par Athènes.
La rédaction de la liste grecque s'est faite en étroite concertation entre le nouveau gouvernement grec de gauche radicale et les créanciers du pays, donnant lieu à des "échanges constructifs" durant tout le week-end, selon M. Dombrovskis.
Athènes a mis ainsi beaucoup d'eau dans son vin, en s'engageant notamment à renoncer à annuler les privatisations déja réalisées.
Sur le relèvement du salaire minimum, autre promesse électorale emblématique de Syriza, la Grèce ne confirme ni le calendrier (2016), ni le montant (751 euros) envisagé jusqu'alors, et renvoie à une consultation avec les partenaires sociaux et les institutions européennes et internationales.
Pour faire face à la "crise humanitaire" traversée par le pays, le gouvernement grec évoque des mesures "très ciblées" visant à améliorer la couverture sociale, l'approvisionnement en énergie et l'accès à la nourriture au logement des plus pauvres.
Le gros des réformes doit porter sur la lutte contre la fraude et évasion fiscale, un chantier toujours repoussé par les précédents gouvernements, et la modernisation de l'appareil d'État, sans toutefois d'évaluation chiffrée.
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Cet accord de principe de l'Eurogoupe a été annoncé sur Twitter par le vice-président de la Commission européenne en charge de l'Euro, Valdis Dombrovskis.
Le ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis, arrive au Parlement le 24 février à Athènes. Photo : AFP/VNA/CVN |
"Après une téléconférence de l'Eurogroupe" pour examiner la liste des réformes présentée par Athènes, "les procédures nationales pour l'extension du programme grec peuvent commencer", a écrit M. Dombrovskis, faisant notamment référence au feu vert nécessaire du Parlement allemand.
Les consultations des ministres ont duré à peine plus d'une heure, après un premier aval donné dans la matinée par les institutions créancières (UE, BCE et FMI), l'ex-troïka à la feuille de route soumise par Athènes.
La rédaction de la liste grecque s'est faite en étroite concertation entre le nouveau gouvernement grec de gauche radicale et les créanciers du pays, donnant lieu à des "échanges constructifs" durant tout le week-end, selon M. Dombrovskis.
Athènes a mis ainsi beaucoup d'eau dans son vin, en s'engageant notamment à renoncer à annuler les privatisations déja réalisées.
Sur le relèvement du salaire minimum, autre promesse électorale emblématique de Syriza, la Grèce ne confirme ni le calendrier (2016), ni le montant (751 euros) envisagé jusqu'alors, et renvoie à une consultation avec les partenaires sociaux et les institutions européennes et internationales.
Pour faire face à la "crise humanitaire" traversée par le pays, le gouvernement grec évoque des mesures "très ciblées" visant à améliorer la couverture sociale, l'approvisionnement en énergie et l'accès à la nourriture au logement des plus pauvres.
Le gros des réformes doit porter sur la lutte contre la fraude et évasion fiscale, un chantier toujours repoussé par les précédents gouvernements, et la modernisation de l'appareil d'État, sans toutefois d'évaluation chiffrée.
AFP/VNA/CVN