>>Fusillade dans la banlieue de Metz : un mort et deux blessés graves
Le suspect a été placé en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention, conformément aux réquisitions du parquet.
Cet ouvrier du BTP sans emploi de 49 ans, déjà condamné notamment pour port d'arme illégal, a pu chercher à se venger après une "altercation sur fond d'alcoolisation" lors d'une fête dans le secteur, pour un motif apparemment "futile", avait indiqué dimanche 31 mai le procureur de Metz Christian Mercuri.
Il avait ouvert le feu dans une rue du quartier Boileau, une banlieue Nord de Metz à cheval sur la commune de Woippy, avec un pistolet automatique, tuant une femme de 22 ans.
La fusillade a également fait trois blessés : le frère de la victime, 25 ans, touché à la tête, un jeune homme de 18 ans touché à l'abdomen, tous deux dans un état toujours très grave lundi, ainsi qu'un homme de 64 ans.
Au total, une quinzaine de douilles avaient été trouvées sur cinq scènes de crime différentes par les enquêteurs.
Un quart d'heure après le début de la fusillade, il avait été interpellé par une patrouille de policiers équipés de pistolets à impulsions électriques Taser.
Après près de 48 heures de garde à vue, le suspect a été mis en examen lundi soir 1er juin pour assassinat et tentative d'assassinat pour les tirs envers la jeune femme et son frère.
Le juge d'instruction a en revanche écarté la préméditation concernant les tirs envers les deux autres victimes, qu'il a qualifiés de tentative de meurtre, ainsi que pour une cinquième personne qui se trouvait à sa fenêtre lors des faits, visée par le tireur présumé, mais qui n'a pas été touchée.
Les secours prennent en charge une personne blessée pendant la fusillade à Woippy, dans la banlieue de Metz, le 30 mai. Photo : AFP/VNA/CVN |
Le suspect a été placé en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention, conformément aux réquisitions du parquet.
Cet ouvrier du BTP sans emploi de 49 ans, déjà condamné notamment pour port d'arme illégal, a pu chercher à se venger après une "altercation sur fond d'alcoolisation" lors d'une fête dans le secteur, pour un motif apparemment "futile", avait indiqué dimanche 31 mai le procureur de Metz Christian Mercuri.
Il avait ouvert le feu dans une rue du quartier Boileau, une banlieue Nord de Metz à cheval sur la commune de Woippy, avec un pistolet automatique, tuant une femme de 22 ans.
La fusillade a également fait trois blessés : le frère de la victime, 25 ans, touché à la tête, un jeune homme de 18 ans touché à l'abdomen, tous deux dans un état toujours très grave lundi, ainsi qu'un homme de 64 ans.
Au total, une quinzaine de douilles avaient été trouvées sur cinq scènes de crime différentes par les enquêteurs.
Un quart d'heure après le début de la fusillade, il avait été interpellé par une patrouille de policiers équipés de pistolets à impulsions électriques Taser.
Après près de 48 heures de garde à vue, le suspect a été mis en examen lundi soir 1er juin pour assassinat et tentative d'assassinat pour les tirs envers la jeune femme et son frère.
Le juge d'instruction a en revanche écarté la préméditation concernant les tirs envers les deux autres victimes, qu'il a qualifiés de tentative de meurtre, ainsi que pour une cinquième personne qui se trouvait à sa fenêtre lors des faits, visée par le tireur présumé, mais qui n'a pas été touchée.
AFP/VNA/CVN