L'infatigable John Kerry, 71 ans, qui sillonne la planète depuis plus de deux ans, était justement à Genève ce week-end pour y rencontrer une nouvelle fois son homologue iranien Mohammad Javad Zarif, avec l'espoir de boucler le 30 juin un accord historique sur le programme nucléaire de Téhéran.
Dans un tweet opportun, l'ancienne porte-parole du département d'État, Jennifer Psaki, aujourd'hui directrice de la communication de la Maison Blanche, a écrit dimanche soir qu'elle "aimerai(t) voir quiconque à l'hôpital (de Genève) tenter d'empêcher John Kerry de négocier et de travailler pendant qu'il se rétablit de sa jambe cassée".
Le ministre américain, grand sportif et cycliste confirmé, s'est brisé le fémur droit en tombant de vélo dimanche matin 31 mai dans les Alpes françaises, prèsde Scionzier (Haute-Savoie, Centre-Est) alors qu'il s'apprêtait à s'attaquer au col de la Colombière, un grand classique du Tour de France.
Il a été évacué par hélicoptère vers l'hôpital universitaire de Genève où il a passé la journée de dimanche (31 mai) et la nuit. "Il a été jugé raisonnable qu'il reste cette nuit à l'hôpital en observation" et qu'il ne retourne aux États-Unis que "demain" (lundi 1er juin), a expliqué le porte-parole du département d'État John Kirby, soulignant que M. Kerry n'avait jamais "perdu connaissance", qu'il était "de très bonne humeur" et "actif".
Il a pu ainsi s'entretenir avec le président Barack Obama. M. Kirby n'a pas dit quand précisément lundi son ministre quitterait Genève, probablement à bord d'un avion médicalisé. Le Boeing "Air Force 2" avec lequel M. Kerry enchaîne les tournées à l'étranger, a ramené dimanche soir 31 mai à Washington une partie de son équipe et la presse accréditée. Des conseillers sont restés à Genève, d'autres l'attendent à Boston (Massachusetts, Nord-Est) où il doit être soigné par ses médecins.
Le secrétaire d'État John Kerry lors d'une promenade à vélo le 16 mars à Lausanne en Suisse. Photo : AFP/VNA/CVN |
Dans un tweet opportun, l'ancienne porte-parole du département d'État, Jennifer Psaki, aujourd'hui directrice de la communication de la Maison Blanche, a écrit dimanche soir qu'elle "aimerai(t) voir quiconque à l'hôpital (de Genève) tenter d'empêcher John Kerry de négocier et de travailler pendant qu'il se rétablit de sa jambe cassée".
Le ministre américain, grand sportif et cycliste confirmé, s'est brisé le fémur droit en tombant de vélo dimanche matin 31 mai dans les Alpes françaises, prèsde Scionzier (Haute-Savoie, Centre-Est) alors qu'il s'apprêtait à s'attaquer au col de la Colombière, un grand classique du Tour de France.
Il a été évacué par hélicoptère vers l'hôpital universitaire de Genève où il a passé la journée de dimanche (31 mai) et la nuit. "Il a été jugé raisonnable qu'il reste cette nuit à l'hôpital en observation" et qu'il ne retourne aux États-Unis que "demain" (lundi 1er juin), a expliqué le porte-parole du département d'État John Kirby, soulignant que M. Kerry n'avait jamais "perdu connaissance", qu'il était "de très bonne humeur" et "actif".
Il a pu ainsi s'entretenir avec le président Barack Obama. M. Kirby n'a pas dit quand précisément lundi son ministre quitterait Genève, probablement à bord d'un avion médicalisé. Le Boeing "Air Force 2" avec lequel M. Kerry enchaîne les tournées à l'étranger, a ramené dimanche soir 31 mai à Washington une partie de son équipe et la presse accréditée. Des conseillers sont restés à Genève, d'autres l'attendent à Boston (Massachusetts, Nord-Est) où il doit être soigné par ses médecins.
AFP/VNA/CVN