De l'Australie à l'Amérique, en passant par l'Australie, l'Asie, l'Europe et l'Afrique, les édifices les plus célèbres, tels que l'opéra de Sydney, le Christ rédempteur de Rio de Janeiro, l'Empire State Building ou la Tour Eiffel seront plongés dans le noir à 20h30 heure locale à chaque endroit.
Cet événement, baptisé "Earth Hour" en anglais, "est semblable au Nouvel An", a déclaré Andy Ridley, co-fondateur et directeur de l'opération, dont ce sera cette année la cinquième édition. "C'est censé être une fête -c'est un peu différent cette année à cause du Japon-, et c'est censé parler d'espoir et d'avenir", dit-il.
Cette opération, organisée à l'initiative du Fonds mondial pour la nature (WWF), a pris une dimension mondiale en 2008.
En 2010, 4.616 villes dans 128 pays et territoires, ainsi que des millions de personnes, y ont participé. "Nous étions loin de nous imaginer au début que cela prendrait une telle ampleur", confie Andy Ridley, en soulignant l'importance des réseaux sociaux dans la montée en puissance de cette opération annuelle.
Les premières lumières à s'éteindre demain seront celles des Fidji, avant la Nouvelle Zélande.
AFP/VNA/CVN