>>Le pétrole porté par la baisse des stocks américains
>>Les prix du pétrole reculent de 5% à Londres
Une installation de production de pétrole. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février perdait 1,05% à 76,04 dollars. Seul le Brent est négocié ce matin et certaines prises de bénéfices sont évidentes, constatent des analystes.
De son plus bas lundi 20 décembre (69,28 dollars) à son plus haut jeudi 23 décembre (77,00 USD), le Brent s'était apprécié de plus de 10% à la faveur de nouvelles rassurantes sur la dangerosité du variant Omicron du COVID-19.
De nouvelles études ont notamment montré que le risque d'hospitalisation est moins important qu'avec de précédentes formes du coronavirus, même si sa propagation fulgurante et massive pourrait mettre sous forte tension les systèmes de santé.
Les investisseurs commencent par ailleurs à se tourner vers le prochain Sommet de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et ses alliés via l'accord OPEP+, qui se tiendra le 4 janvier.
À ce propos, certains analystes s'attendent à ce que le groupe s'en tienne à sa décision d'augmenter la production de pétrole de 400.000 barils par jour.
De son côté , le cours du gaz européen poursuivait sa chute depuis son pic historique touché mardi, à 187,785 euros le mégawattheure (MWh).
Le marché de référence, le TTF (Title Transfer Facility) néerlandais, abandonnait de 17,44% à 109,45 euros.
APS/VNA/CVN