>>Venezuela : le maire de Caracas placé en détention provisoire
"J'ai décidé de me rendre aujourd'hui (mardi 10 mars) personnellement à l'Assemblée nationale pour remettre ma demande" de pouvoirs spéciaux "pour la paix et la souveraineté", a écrit le président sur son compte Twitter.
Dans un discours lundi soir 9 mars, le président Maduro avait qualifié de "coup le plus agressif, injuste et néfaste jamais porté au Venezuela" l'annonce de ces sanctions, prises selon la présidence américaine en réaction à des violations des droits de l'homme au Venezuela.
"Vous n'avez pas le droit de nous agresser et de déclarer que le Venezuela est une menace pour le peuple des États-Unis, la menace pour le peuple américain, c'est vous", a-t-il déclaré à l'intention du président américain Barack Obama.
Celui-ci avait qualifié lundi 9 mars la situation dans ce pays sud-américain de "menace extraordinaire et inhabituelle pour la sécurité nationale et la politique extérieure des États-Unis" et annoncé des gels d'avoir et interdictions de visas contre sept responsables vénézuéliens impliqués dans la violente répression des manifestations entre février et mai 2014.
Le président du Venezuela, Nicolas Maduro. Photo : AFP/VNA/CVN |
"J'ai décidé de me rendre aujourd'hui (mardi 10 mars) personnellement à l'Assemblée nationale pour remettre ma demande" de pouvoirs spéciaux "pour la paix et la souveraineté", a écrit le président sur son compte Twitter.
Dans un discours lundi soir 9 mars, le président Maduro avait qualifié de "coup le plus agressif, injuste et néfaste jamais porté au Venezuela" l'annonce de ces sanctions, prises selon la présidence américaine en réaction à des violations des droits de l'homme au Venezuela.
"Vous n'avez pas le droit de nous agresser et de déclarer que le Venezuela est une menace pour le peuple des États-Unis, la menace pour le peuple américain, c'est vous", a-t-il déclaré à l'intention du président américain Barack Obama.
Celui-ci avait qualifié lundi 9 mars la situation dans ce pays sud-américain de "menace extraordinaire et inhabituelle pour la sécurité nationale et la politique extérieure des États-Unis" et annoncé des gels d'avoir et interdictions de visas contre sept responsables vénézuéliens impliqués dans la violente répression des manifestations entre février et mai 2014.
AFP/VNA/CVN