>>Yémen : le président démissionne, le Parlement refuse
Ce conseiller présidentiel a, sous couvert d'anonymat, indiqué que M. Hadi avait pris la décision de retirer sa démission suite aux efforts menés par l'envoyé des Nations unies, Jamal Bin Omar, ainsi que par les représentants des partis politiques du pays.
M. Hadi avait six conseillers faisant partie du corps exécutif du pays, dont un faisant partie du groupe chiite Houti.
Cependant, un porte-parole du gouvernement a révélé à Xinhua qu'aucune déclaration officielle n'avait été publiée quant à la décision de M. Hadi.
Des efforts domestiques et internationaux sont toujours en cours pour convaincre le président de retirer sa démission, a annoncé le porte-parole sous couvert d'anonymat.
M. Hadi a remis jeudi soir 22 janvier sa démission au Parlement alors que la situation avec le mouvement chiite Houti, contrôlant la capitale, était dans l'impasse. Le Premier ministre yéménite Khaled Bahah et son gouvernement ont aussi présenté leurs démissions au président le même jour.
L'agence de presse officielle du Yémen, Saba, a rapporté dimanche 25 janvier que le Parlement yéménite avait repoussé sa session d'urgence, prévue dans le but de voter l'acceptation de la démission du président.
La session a été retardée jusqu'à "ce qu'une autre date soit fixée", et ce afin d'avoir plus de temps pour "informer les membres du Parlement qu'ils se doivent d'être présents", a déclaré l'agence de presse.
Le Parlement a annoncé dans un communiqué précédent qu'il tiendrait une session d'urgence vendredi 23 janvier qui a par la suite été repoussée à dimanche 25 janvier.
Ce conseiller présidentiel a, sous couvert d'anonymat, indiqué que M. Hadi avait pris la décision de retirer sa démission suite aux efforts menés par l'envoyé des Nations unies, Jamal Bin Omar, ainsi que par les représentants des partis politiques du pays.
Le président yéménite Abed Rabbo Mansour El-Hadi. Photo : AFP/VNA/CVN |
M. Hadi avait six conseillers faisant partie du corps exécutif du pays, dont un faisant partie du groupe chiite Houti.
Cependant, un porte-parole du gouvernement a révélé à Xinhua qu'aucune déclaration officielle n'avait été publiée quant à la décision de M. Hadi.
Des efforts domestiques et internationaux sont toujours en cours pour convaincre le président de retirer sa démission, a annoncé le porte-parole sous couvert d'anonymat.
M. Hadi a remis jeudi soir 22 janvier sa démission au Parlement alors que la situation avec le mouvement chiite Houti, contrôlant la capitale, était dans l'impasse. Le Premier ministre yéménite Khaled Bahah et son gouvernement ont aussi présenté leurs démissions au président le même jour.
L'agence de presse officielle du Yémen, Saba, a rapporté dimanche 25 janvier que le Parlement yéménite avait repoussé sa session d'urgence, prévue dans le but de voter l'acceptation de la démission du président.
La session a été retardée jusqu'à "ce qu'une autre date soit fixée", et ce afin d'avoir plus de temps pour "informer les membres du Parlement qu'ils se doivent d'être présents", a déclaré l'agence de presse.
Le Parlement a annoncé dans un communiqué précédent qu'il tiendrait une session d'urgence vendredi 23 janvier qui a par la suite été repoussée à dimanche 25 janvier.
Xinhua/VNA/CVN