Il a rappelé que les tentatives de parler avec les terroristes dans le début des années 1990 ont mené à deux guerres en Tchétchénie.
Il est nécessaire de lutter "sans merci" contre le terrorisme et l'extrémisme, a-t-il dit, appelant la société russe à s'unir face à la menace terroriste. "Toute société saine s'unit face à une menace et repousse, ensemble, les bandits, les extrémistes et les terroristes. Je suis certain que c'est ce qui se passera en Russie”, a assuré M. Poutine.
Entre temps, il a déclaré que les enquêtes préliminaires ont montré que l'attentat meurtrier du 24 janvier à l'aéroport Domodedovo de Moscou n'avait rien à voir avec la république tchétchène.
Toutefois, il a noté que dans la situation actuelle, l'État doit créer les conditions socio-économiques dans le Caucase du Nord, afin d'améliorer l'application des lois et des services spéciaux, et offrir des infrastructures de transport.
En février, la Russie discutera de la coopération anti-terroriste avec l'Union européenne lors d'une rencontre Russie-Commission euro-péenne à Bruxelles.
XINHUA/VNA/CVN