>>Irak: 7 éléments de Daech éliminés dans la province de Salaheddine
>>Irak: plus de 300 personnes condamnées à mort pour appartenance à l'EI
Des soldats américains et des membres des Forces démocratiques syriennes, lors d'une patrouille à proximité de la frontière turque, dans le Nord-Est de la Syrie, le 4 novembre. |
À Sadr City, dans l'Est de Baghdad, deux civils ont été tués et huit blessés dans deux explosions, ont indiqué un officier de police et des médecins. Un explosif placé sous la voiture d'un fonctionnaire a tué son propriétaire dans le quartier de Saha, dans le Sud-Ouest de la capitale irakienne, ont-ils ajouté.
Dans le Nord de la capitale, dans le quartier d'al-Tarmiya, un soldat a été tué et deux blessés dans une attaque alors que dans le quartier Aden deux civils ont péri et six ont été blessés dans l'explosion d'une bombe près d'une gare routière.
Toujours dans le Nord de Baghdad, dans les quartiers d'al-Choala et d'al-Mechtal, sept civils ont été blessés par l'explosion de deux bombes dans deux bus, selon l'officier de police et les médecins.
En décembre 2017, l'Irak a annoncé la "fin de la guerre" contre le groupe terroriste autoproclamé État islamique (EI/Daech), chassé de la région de Baghdad mais aussi de l'ensemble des zones urbaines et peuplées qu'il contrôlait depuis 2014 en Irak. Des cellules terroristes sont toutefois encore présentes dans le pays.