>>"Gilets jaunes", ordre public et fiscalité: débat animé entre chefs de parti
>>"Gilets jaunes": le préfet limogé, des manifestations interdites
 |
| Des "gilets jaunes" à la place Denfert Rochereau à Paris le 23 mars. |
| Photo: AFP/VNA/CVN |
Samedi dernier 17 mars, ils étaient, selon la même source, 32.000 dans l'ensemble du pays, dont 10.000 à Paris où l'acte 18 du mouvement de contestation sociale avait donné lieu à des scènes de saccage sur les Champs-Élysées, entraînant un renforcement drastique du dispositif de sécurité ce samedi 23 mars.
Un policier d'une compagnie d'intervention parisienne a été victime d'un malaise cardiaque, ce samedi 23 mars en fin d'après-midi, alors que la manifestation des gilets jaunes était en train de disperser, selon la préfecture de police de Paris.
Suite aux violences survenues samedi dernier 17 mars aux abords des Champs-Élysées à Paris, et sur deux places à Toulouse et Bordeaux, le gouvernement français a durci les conditions de manifestation avec notamment une interdiction de manifester sur les Champs-Élysées, la place de l'Étoile, la place de la Concorde, et autour d'une partie de l'Assemblée nationale.
La préfecture de police de Paris a annoncé avoir procédé à 4 688 contrôles d'identité, 51 interpellations et 29 verbalisations sur ce périmètre, à 13h30 heure locale (12h30 GMT).
Selon Franceinfo, la situation était en train de "se tendre" à partir de 16h00 heure locale (15h00 GMT) dans plusieurs villes de France entre certains "gilets jaunes" et les forces de l'ordre. À Paris, la police a interpellé une cinquantaine de manifestants et verbalisé 29 personnes.
Xinhua/VNA/CVN