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Le Premier ministre algérien, Abdelaziz Djerad dans son bureau. |
Il s’agit des activités et des commerces suivants : taxis urbains, salons de coiffure, pâtisserie, confiserie et gâteaux traditionnels, habillement et chaussures, commerce d’électroménager, commerce d’articles et ustensiles de cuisines, commerce de tissus, de mercerie et de bonneterie, bijouteries et horlogeries, commerce de produits cosmétiques et parfumeries, commerce de meuble et de mobiliers de bureaux, librairies et vente d’articles scolaires, commerce en gros et détails de matériaux de BTPH (céramiques, appareillage électrique et produits sanitaires, agrégats et liants, articles de peinture, boiseries, canalisation et tuyauterie...etc), précise un communiqué des services du Premier ministre.
En ce qui concerne les activités de coiffure et ainsi que les commerces d’habillement et de chaussures, le communiqué affirme qu'il appartient aux walis "de définir les conditions de prévention sanitaire à respecter avec rigueur".
Pour les taxis à l'intérieur du périmètre urbain, la reprise de l'activité est différée jusqu'à l'annonce par les pouvoirs publics des modalités liées à la sécurité sanitaire de ce moyen de transport, ajoute le communiqué.
APS/VNA/CVN