"Nous demandons que sa libération intervienne dans les meilleurs délais, nous cherchons à la localiser", a déclaré le président François Hollande à la presse.
L'employeur de la Française de 30 ans, Francisco Ayala, président de Ayala Consulting, basée dans la banlieue de Miami (Floride, Sud-Est) et en Équateur, a indiqué qu'"Isabelle était la dernière" des expatriés de sa société encore au Yémen et qu'elle "devait partir dans quelques jours".
Selon M. Ayala, elle se rendait en voiture à son travail avec une accompagnatrice yéménite quand son chauffeur a été arrêté par des hommes habillés en policiers.
Selon de premières informations, la jeune femme aurait travaillé pour la Banque Mondiale, ce que l'institution a ensuite démenti. Les "deux femmes travaillent comme contractuelles pour une société de conseil, elle-même sous contrat du Social Welfare Fund qui développe un projet financé par la Banque Mondiale", a indiqué l'institution financière basée à Washington.
"Tout s'est passé très vite"
L'employeur de la jeune Française a raconté que "tout s'est passé très vite". "Deux voitures ont arrêté la nôtre, ces gens étaient habillés en policiers", a-t-il ajouté.
La voiture a tourné dans la ville puis le chauffeur a été libéré et a prévenu les autorités. Selon lui, les ravisseurs ont voulu libérer l'accompagnatrice mais cette dernière a refusé pour rester avec la Française, a encore dit M. Ayala.
"Il y a des contacts. Nous ne sommes pas informés, le ministère de l'Intérieur (yéménite) s'en occupe, on attend", a-t-il ajouté.
Selon le site d'Ayala Consulting, Isabelle Prime est consultante spécialisée en développement durable et en communication. Elle avait auparavant travaillé en Jordanie et en France dans les télécommunications et l'assainissement de l'eau.
Selon une source des services de sécurité yéménites, la jeune femme a été enlevée dans la matinée dans le centre de Sanaa, par des hommes armés non identifiés, alors qu'elle et son accompagnatrice se trouvaient à bord d'un taxi. Elles ont été conduites vers une destination inconnue, selon la même source.
La vieille ville de Sanaa, capitale du Yemen. Photo : AFP/VNA/CVN |
L'employeur de la Française de 30 ans, Francisco Ayala, président de Ayala Consulting, basée dans la banlieue de Miami (Floride, Sud-Est) et en Équateur, a indiqué qu'"Isabelle était la dernière" des expatriés de sa société encore au Yémen et qu'elle "devait partir dans quelques jours".
Selon M. Ayala, elle se rendait en voiture à son travail avec une accompagnatrice yéménite quand son chauffeur a été arrêté par des hommes habillés en policiers.
Selon de premières informations, la jeune femme aurait travaillé pour la Banque Mondiale, ce que l'institution a ensuite démenti. Les "deux femmes travaillent comme contractuelles pour une société de conseil, elle-même sous contrat du Social Welfare Fund qui développe un projet financé par la Banque Mondiale", a indiqué l'institution financière basée à Washington.
"Tout s'est passé très vite"
L'employeur de la jeune Française a raconté que "tout s'est passé très vite". "Deux voitures ont arrêté la nôtre, ces gens étaient habillés en policiers", a-t-il ajouté.
La voiture a tourné dans la ville puis le chauffeur a été libéré et a prévenu les autorités. Selon lui, les ravisseurs ont voulu libérer l'accompagnatrice mais cette dernière a refusé pour rester avec la Française, a encore dit M. Ayala.
"Il y a des contacts. Nous ne sommes pas informés, le ministère de l'Intérieur (yéménite) s'en occupe, on attend", a-t-il ajouté.
Selon le site d'Ayala Consulting, Isabelle Prime est consultante spécialisée en développement durable et en communication. Elle avait auparavant travaillé en Jordanie et en France dans les télécommunications et l'assainissement de l'eau.
Selon une source des services de sécurité yéménites, la jeune femme a été enlevée dans la matinée dans le centre de Sanaa, par des hommes armés non identifiés, alors qu'elle et son accompagnatrice se trouvaient à bord d'un taxi. Elles ont été conduites vers une destination inconnue, selon la même source.
AFP/VNA/CVN