>>Le porte-avions français Charles-de-Gaule mobilisé contre l'Etat Islamique en Irak
Sept semaines après les attentats de Paris, le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a réaffirmé la détermination de la France à combattre l'organisation extrémiste et à "arrêter la barbarie que celle-ci commet".
"Cette menace, le terrorisme jihadiste, voudrait atteindre nos ressortissants, nos intérêts, nos valeurs. En réponse, la France sera d'une fermeté totale", a-t-il dit à bord du Charles de Gaulle qui croise dans le Nord du Golfe.
Une première vague de chasseurs - quatre Rafale et quatre Super Etendard modernisés - est rentrée à bon port, sans avoir largué de bombes, après cinq à six heures de mission.
"Il n'y a pas eu d'engagement. L'objectif de cette première journée, c'était de rentrer dans l'opération, de se familiariser avec le théâtre, les procédures", a expliqué le contre-amiral Eric Chaperon qui commande le groupe aéronaval.
Les appareils ont rejoint leurs objectifs en une heure et demie environ, soit deux fois moins que depuis la base émiratie d'Al-Dhafra, utilisée par la France.
Le Charles de Gaulle sera engagé pendant huit semaines dans le Golfe, au côté du porte-avions USS Carl Vinson, et poursuivra ensuite sa route vers l'Inde où se rendra mardi 24 février M. Le Drian.
Les techniciens préparent un avion Rafale le 23 février sur le porte-avions Charles de Gaulle, désormais engagé dans les opérations de la coalition internationale contre le groupe État islamique en Irak. Photo : AFP/VNA/CVN |
Sept semaines après les attentats de Paris, le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a réaffirmé la détermination de la France à combattre l'organisation extrémiste et à "arrêter la barbarie que celle-ci commet".
"Cette menace, le terrorisme jihadiste, voudrait atteindre nos ressortissants, nos intérêts, nos valeurs. En réponse, la France sera d'une fermeté totale", a-t-il dit à bord du Charles de Gaulle qui croise dans le Nord du Golfe.
Une première vague de chasseurs - quatre Rafale et quatre Super Etendard modernisés - est rentrée à bon port, sans avoir largué de bombes, après cinq à six heures de mission.
"Il n'y a pas eu d'engagement. L'objectif de cette première journée, c'était de rentrer dans l'opération, de se familiariser avec le théâtre, les procédures", a expliqué le contre-amiral Eric Chaperon qui commande le groupe aéronaval.
Les appareils ont rejoint leurs objectifs en une heure et demie environ, soit deux fois moins que depuis la base émiratie d'Al-Dhafra, utilisée par la France.
Le Charles de Gaulle sera engagé pendant huit semaines dans le Golfe, au côté du porte-avions USS Carl Vinson, et poursuivra ensuite sa route vers l'Inde où se rendra mardi 24 février M. Le Drian.
AFP/VNA/CVN