Ces cinq provinces, notamment celle d'Aden, sont le théâtre de violentes manifestations contre le régime. Les personnalités limogées n'ont pas été remplacées dans l'immédiat.
M. Saleh, pourtant un allié clé des États-Unis dans la lutte contre Al-Qaïda, s'en est par ailleurs pris au président américain Barack Obama, accusant Israël et les États-Unis d'orchestrer les " révoltes" qui ont touché plusieurs pays arabes depuis la mi-janvier. La Maison Blanche a réagi en en mettant en garde M. Saleh contre toute tentative de désigner des "boucs émissaires".
AFP/VNA/CVN