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Une capture vidéo de l'intervention du président Emmanuel Macron pour ses vœux, le 31 décembre 2017 à l'Élysée. |
"Dès lors qu’Emmanuel Macron avait décidé de sacrifier au rituel des vœux télévisés, il avait vocation à +dépoussiérer+ l’exercice" mais "rien de tout cela", constate Alain Auffray, sur le site Internet de Libération.
"Comme s’il voulait au contraire démontrer combien il est attaché au respect des traditions républicaines, le chef de l’État a choisi de faire dans le grand classique", ajoute-t-il.
"Pour la première fois, Emmanuel Macron a présenté ses vœux à la télévision" et "il n'a finalement pas dérogé à la tradition", note également Grégoire Poussielgue, sur le site des Echos.
"C'était un passage quasi-obligé. Comme l'ensemble de ses prédécesseurs, Emmanuel Macron s'est plié au traditionnel exercice des +vœux aux Français+", écrit sur le site Internet du Figaro, Arthur Berdah pour qui le chef de l'État dans son allocution "a mis l'accent sur le social, insisté sur le travail et loué la grandeur de la France".
Du "hyper classique sur la forme", du "très grand classique dans cette mise en scène extrêmement sobre", du "volontariste sur le fond", résume Ava Djamshidi, sur le site du Parisien.
"Dans les pas de ses prédécesseurs"
Pour Le Monde, sous la plume de Bastien Bonnefous, le président de la République "a livré un discours des plus classiques. Le chef de l'État s'est inscrit, ni plus ni moins, dans les pas de ses prédécesseurs". Il a profité de ses "premiers vœux, pour réaffirmer son identité politique et corriger son image", souligne-t-il.
"Pas d’annonce inédite ni de bouleversement de la tradition des vœux présidentiels télévisés", écrit sobrement Ouest-France sur son site. Sud-Ouest a lui aussi vu des "vœux pour le moins classiques sans annonce particulière mais avec la volonté de poursuivre la même politique en 2018".
"Un discours très classique sur le fond et pas de grandes annonces," pour Les Dernières Nouvelles d'Alsace, l'Alsace mais également l'Est Républicain ou encore le Républicain Lorrain.
"En avoir fini avec l'interview-fleuve du 14 juillet et avoir expérimenté le parcours pédestre (et déférent) avec Delahousse, c'était bien suffisant au chapitre des audaces", explique Bruno Mège, de la Montagne Centre France.
"Les premiers vœux du président Macron étaient attendus. À la fois sur un ton solennel, pragmatique, ils auront laissé sur leur faim ceux qui attendaient des mesures concrètes", conclut Eric Marty, du Midi Libre.
AFP/VNA/CVN