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Le président du Conseil européen Donald Tusk le 2 juillet à Bruxelles. |
Photo: AFP/VNA/CVN |
"Je suis absolument certain que les nouveaux dirigeants de nos institutions seront aussi cohérents que nous le sommes en ce qui concerne l'accord de retrait et notre disponibilité à discuter de la future relation" avec Londres, a déclaré le président du Conseil européen Donald Tusk à la presse.
L'accord de retrait que l'UE refuse de renégocier, conclu entre Bruxelles et la Première ministre démissionnaire Theresa May, a été rejeté à trois reprises par le Parlement britannique.
Le député pro-Brexit Boris Johnson est favori pour succéder à la Première ministre britannique.
La sortie du Royaume-Uni de l'UE, initialement prévue le 29 mars, a été repoussée au 31 octobre, mais les conditions de ce départ restent incertaines.
"Il ne faut pas avoir peur d'un +no deal+", a par ailleurs déclaré le président Emmanuel Macron.
"Sinon nous sommes otages du camp d'en face, nous devons arrêter de traîner", a ajouté le dirigeant français, qui était partisan d'un court délai lorsque la nouvelle date du 31 octobre a été arrêtée.
AFP/VNA/CVN