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Venus Williams lors de son match contre Johanna Konta, le 19 janvier à Melbourne. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
Pour son 69e tournoi du Grand Chelem, l'aînée des Williams, venue pour la première fois à Melbourne en 1998, nourrissait pourtant de grands espoirs après avoir repris place dans le top 10 grâce à de bons résultats fin 2015, notamment des victoires en Chine aux tournois de Zuhai et Wuhan.
Mais l'Américaine, sept fois titrée en Grand Chelem, mais jamais à Melbourne, n'a tenu que 79 minutes face à une rivale pourtant peu réputée (47e mondiale).
Dans le tableau masculin, Andy Murray s'est qualifié tranquillement pour le deuxième tour en battant Alexander Zverev en trois sets 6-1, 6-2, 6-3. Il s'agissait d'un test intéressant car l'Allemand, âgé de 18 ans, est un des grands espoirs du circuit. Mais il a fait beaucoup trop de fautes directes (43 contre 20) pour inquiéter l'Écossais.
Côté français, Lucas Pouille n'a rien pu faire contre le grand serveur canadien Milos Raonic, vainqueur 6-1, 6-4, 6-4, pas plus qu'Adrian Mannario, battu par l'Australien Sam Groth 7-6 (8/6), 6-4, 3-6, 6-3.
En revanche, le vétéran Stéphane Robert a poursuivi son parcours, commencé en qualifications, aux dépens de l'Américain Bjorn Fratangelo 6-2, 6-2, 6-2.
L'affiche de la journée opposait les Espagnols Rafael Nadal et Fernando Verdasco, un "remake" de la demi-finale qui avait enchanté Melbourne en 2009.
En soirée, le public australien se préparait à faire ses adieux à l'ancien N°1 mondial Lleyton Hewitt, qui mettra fin à sa carrière en cas de défaite contre son compatriote James Duckworth.
AFP/VNA/CVN