>>Syrie : le groupe EI s'empare de champs gaziers, des morts à Palmyre
>>L'EI s'empare de Ramadi en Irak, mais recule près de Palmyre en Syrie
Dans l'Irak voisin, une contre-offensive se prépare pour reprendre Ramadi, capitale de la province majoritairement sunnite d'Al-Anbar tombée dimanche 17 mai aux mains de l'EI.
Les États-Unis, à la tête d'une coalition internationale anti-jihadiste, procèdent eux à un "réexamen" de leur stratégie en Irak promettant qu'ils "aideraient" les autorités à reprendre cette ville "dès que possible".
La situation sera au coeur d'une réunion internationale le 2 juin à Paris, le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius soulignant qu'"il faut faire le point sur la façon dont la coalition souhaite procéder".
"L'EI contrôle la quasi-totalité de Palmyre", a rapporté mercredi soir 20 mai le directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme, Rami Abdel Rahmane, faisant état d'un "retrait massif des forces du régime de tous les secteurs". Il a cependant précisé que les jihadistes n'étaient pas entrés dans la prison (Est) ni au siège des services de renseignement militaires (Ouest) où se trouvent un grand nombre de soldats.
Un militant originiaire de Palmyre, Mohamed Hassan al-Homsi, a indiqué via internet que l'armée de l'air avait lancé des raids sur Palmyre après que l'EI se soit emparé de la quasi-totalité de la ville.
>>L'EI s'empare de Ramadi en Irak, mais recule près de Palmyre en Syrie
Une vue générale de Palmyre, le 18 mai. Photo : AFP/VNA/CVN |
Dans l'Irak voisin, une contre-offensive se prépare pour reprendre Ramadi, capitale de la province majoritairement sunnite d'Al-Anbar tombée dimanche 17 mai aux mains de l'EI.
Les États-Unis, à la tête d'une coalition internationale anti-jihadiste, procèdent eux à un "réexamen" de leur stratégie en Irak promettant qu'ils "aideraient" les autorités à reprendre cette ville "dès que possible".
La situation sera au coeur d'une réunion internationale le 2 juin à Paris, le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius soulignant qu'"il faut faire le point sur la façon dont la coalition souhaite procéder".
"L'EI contrôle la quasi-totalité de Palmyre", a rapporté mercredi soir 20 mai le directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme, Rami Abdel Rahmane, faisant état d'un "retrait massif des forces du régime de tous les secteurs". Il a cependant précisé que les jihadistes n'étaient pas entrés dans la prison (Est) ni au siège des services de renseignement militaires (Ouest) où se trouvent un grand nombre de soldats.
Un militant originiaire de Palmyre, Mohamed Hassan al-Homsi, a indiqué via internet que l'armée de l'air avait lancé des raids sur Palmyre après que l'EI se soit emparé de la quasi-totalité de la ville.
AFP/VNA/CVN