>>L'armée syrienne reprend une ville clé à l'EI dans la province d'Alep
Des Syriens au milieu des décombres d'un immeuble dans le village de Kafranbel (province d'Idlib), le 9 mars. |
De hauts fonctionnaires envoyés par la Russie, la Turquie et l'Iran prendront part aux pourparlers, a déclaré le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué de presse. Des invitations ont également été envoyées aux représentants de l'ONU, des États-Unis et de la Jordanie.
La délégation du gouvernement syrien et celle de l'opposition armée devraient également être présentes, a ajouté le communiqué.
Deux séries de rencontres internationales ont eu lieu les 23 et 24 janvier et les 15 et 16 février à Astana. Une rencontre technique d'experts a également été organisée le 6 février. Des délégations russe, iranienne et turque, ainsi que des représentants du gouvernement syrien, des partis d'opposition, de l'ONU, des Etats-Unis et de la Jordanie ont pris part à ces évènements.
Le principal résultat de ces rencontres a été la mise en place d'un mécanisme de coordination destiné à veiller au respect du cessez-le-feu en Syrie, un cessez-le-feu qui a permis aux différentes parties en présence de discuter de leurs projets politiques.
Les pourparlers de paix d'Astana se déroulent en parallèle du Processus de Genève, et conformément à la résolution 2.254 votée en 2015 par le Conseil de sécurité de l'ONU.