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Renault a confirmé le 14 janvier qu'aucun logiciel truqueur n'a été détecté dans les perquisitions des autorités françaises, selon son communiqué. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
À fin décembre 2015, onze véhicules sur 100 actuellement en circulation ont déjà été testés, dont quatre véhicules Renault, et la Direction générale de l'énergie et du climat (DGEC), interlocuteur pilote de la Commission royal, considère que "la procédure en cours ne mettrait pas en évidence la présence d'un logiciel truqueur équipant les véhicules Renault", a indiqué le constructeur automobile, saluant "une bonne nouvelle".
Par ailleurs, le groupe précise que des tests sont en cours pour permettre d'anticiper des solutions d'amélioration pour les véhicules Renault qui sortiront des usines comme pour les véhicules en circulation, que le groupe Renault a décidé de présenter rapidement sous la forme d'un plan émissions de Renault, avec pour objectif de renforcer la performance énergétique de ces véhicules.
Renault a réaffirmé sa pleine coopération aux travaux de la Commission royal et aux investigations complémentaires décidées par le ministère français de l'Économie : "après le succès de la COP 21, Renault entend accélérer son investissement au service de solutions industrielles utiles à la préservation de la planète", a indiqué le groupe.
Xinhua/VNA/CVN