>> Metallica envoie du lourd à Bercy
>> Le Hellfest aux anges avec Metallica
>> Metallica et Mariah Carey en tête d'affiche d'un concert pour l'aide internationale
Le célèbre groupe de heavy metal américain, Metallica, présentera son nouvel album en 2023. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
L'album 72 seasons sortira le 14 avril 2023 et sera immédiatement suivi de concerts à Amsterdam, Paris (Stade de France les 17 et 19 mai), Hambourg en Allemagne, puis en Suède, selon des communiqués de Metallica et du géant de la billetterie et du divertissement Live Nation.
S'ensuivront d'août à novembre 2023 des concerts aux États-Unis et au Canada (Los Angeles, Phoenix, Detroit, Montréal...) avant un retour en Europe à partir de mai 2024 (Munich, Helsinki, Varsovie, Madrid...), puis de nouveau en Amérique du Nord (Chicago, Seattle, Mexico...) jusqu'en septembre 2024.
Le quatuor californien, dont les membres fondateurs comme James Hetfield, 59 ans, et le batteur danois Lars Ulrich, 58 ans, jouent et se produisent depuis 40 ans, ont promis deux concerts à chacune de leurs étapes avec un spectacle différent chaque jour.
Leur 12e album studio - le premier depuis 2016 - comporte 12 titres, dont l'un, Lux Aeterna, a été dévoilé lundi.
D'après James Hetfield, le titre de l'opus 72 seasons fait référence aux "18 premières années de nos vies qui forment notre vrai ou notre faux moi".
"Nos parents nous ont dit +qui nous sommes+ (...). L'essentiel de notre expérience d'adulte est de rejouer ou de réagir à nos expériences de l'enfance. D'être prisonniers de notre enfance ou de se libérer de ces liens", écrit le chanteur américain, qui, en quatre décennies de carrière, a rompu avec nombre d'excès et d'addictions et a même conduit avec son groupe une psychothérapie racontée dans un documentaire en 2001 (Metallica: Some Kind of Monster).
Avec la puissance du son metal, Metallica avait réveillé en septembre un concert caritatif new-yorkais pour le climat et contre la pauvreté d'une dizaine d'artistes américains et européens organisé à Central Park, au cœur de Manhattan, par l'ONG américaine Global Citizen.
AFP/VNA/CVN