Ces programmes ont été annoncés le 15 juillet lors d'une réunion entre le commissaire de l'UE chargé de la coopération internationale et du développement, Neven Mimica, et le directeur général de la FAO, José Graziano da Silva, en marge de la troisième Conférence internationale sur le financement du développement.
L'Union européenne contribue à hauteur de 50 millions d'euros et la FAO d'environ 23,5 millions à cette initiative, qui sera pilotée par les pays en fonction de la demande, a révélé un communiqué de l'ONU.
"Cette initiative sera décisive pour aider les pays partenaires et les organisations régionales à mobiliser les moyens politiques, techniques et financiers autour du but commun de réduction de l'insécurité alimentaire et nutritionnelle", a affirmé M. Mimica, cité par le communiqué.
"Cette nouvelle phase de notre partenariat avec l'Union européenne permettra de renforcer la capacité de la FAO d'aider les gouvernements à acquérir les données et l'information nécessaires pour élaborer et mettre en œuvre des politiques efficaces dans le but de s'attaquer aux causes profondes de la faim et de développer la résilience aux chocs et aux crises", a souligné de son côté M. Graziano da Silva.
Selon l'ONU, environ 800 millions de personnes dans le monde souffrent de la faim, tandis que des millions d'autres encore n'ont pas accès à une alimentation saine.
Selon l'ONU, environ 800 millions de personnes dans le monde souffrent de la faim. Photo : AFP/VNA/CVN |
L'Union européenne contribue à hauteur de 50 millions d'euros et la FAO d'environ 23,5 millions à cette initiative, qui sera pilotée par les pays en fonction de la demande, a révélé un communiqué de l'ONU.
"Cette initiative sera décisive pour aider les pays partenaires et les organisations régionales à mobiliser les moyens politiques, techniques et financiers autour du but commun de réduction de l'insécurité alimentaire et nutritionnelle", a affirmé M. Mimica, cité par le communiqué.
"Cette nouvelle phase de notre partenariat avec l'Union européenne permettra de renforcer la capacité de la FAO d'aider les gouvernements à acquérir les données et l'information nécessaires pour élaborer et mettre en œuvre des politiques efficaces dans le but de s'attaquer aux causes profondes de la faim et de développer la résilience aux chocs et aux crises", a souligné de son côté M. Graziano da Silva.
Selon l'ONU, environ 800 millions de personnes dans le monde souffrent de la faim, tandis que des millions d'autres encore n'ont pas accès à une alimentation saine.
Xinhua/VNA/CVN