>>La Chine signe avec Airbus, Alstom ou encore Engie
Subordonnée à la cession à l'italien Ansaldo d'actifs majeurs de l'activité +turbines à gaz de grande puissance+ d'Alstom, cette autorisation permet au conglomérat américain de conforter sa place dans l'équipement et la maintenance des centrales électriques, loin devant l'allemand Siemens.
Cette annonce, qui avait largement filtré dans les médias ces derniers jours, a été suivie d'une conférence de presse à Strasbourg de la commissaire en charge de la Concurrence, Margrethe Vestager.
La Danoise s'est dite "heureuse que cette opération puisse être autorisée, ce qui démontre que l'Europe est ouverte au monde de l'entreprise et qu'une technologie d'origine européenne peut prospérer et attirer des investissements étrangers".
Les autorités américaines ont dans la foulée également donné leur feu vert à ce rachat.
La Commission "craignait que l'opération n'ait pour effet d'évincer l’un des principaux concurrents de GE sur le marché mondial des turbines à gaz de grande puissance, marché sur lequel GE est le fabricant numéro un et Alstom le troisième ou quatrième acteur au niveau mondial".
"Une telle concentration aurait porté préjudice à l'innovation et fait grimper les prix sur le marché d'une technologie qui est essentielle pour lutter contre le changement climatique. Les engagements offerts par GE dissipent ces craintes", s'est félicitée la Commission.
GE a en effet finalement accepté que certains actifs d'Alstom, notamment une partie de son lucratif portefeuille de contrats de maintenance des centrales électriques, soient acquis par l'italien Ansaldo Energia, détenu notamment par le Fonds stratégique d'investissement italien.
Subordonnée à la cession à l'italien Ansaldo d'actifs majeurs de l'activité +turbines à gaz de grande puissance+ d'Alstom, cette autorisation permet au conglomérat américain de conforter sa place dans l'équipement et la maintenance des centrales électriques, loin devant l'allemand Siemens.
Un employé d'Alstom devant le logo de General Electric à Belfort dans le Nord-Est de la France. Photo : AFP/VNA/CVN |
Cette annonce, qui avait largement filtré dans les médias ces derniers jours, a été suivie d'une conférence de presse à Strasbourg de la commissaire en charge de la Concurrence, Margrethe Vestager.
La Danoise s'est dite "heureuse que cette opération puisse être autorisée, ce qui démontre que l'Europe est ouverte au monde de l'entreprise et qu'une technologie d'origine européenne peut prospérer et attirer des investissements étrangers".
Les autorités américaines ont dans la foulée également donné leur feu vert à ce rachat.
La Commission "craignait que l'opération n'ait pour effet d'évincer l’un des principaux concurrents de GE sur le marché mondial des turbines à gaz de grande puissance, marché sur lequel GE est le fabricant numéro un et Alstom le troisième ou quatrième acteur au niveau mondial".
"Une telle concentration aurait porté préjudice à l'innovation et fait grimper les prix sur le marché d'une technologie qui est essentielle pour lutter contre le changement climatique. Les engagements offerts par GE dissipent ces craintes", s'est félicitée la Commission.
GE a en effet finalement accepté que certains actifs d'Alstom, notamment une partie de son lucratif portefeuille de contrats de maintenance des centrales électriques, soient acquis par l'italien Ansaldo Energia, détenu notamment par le Fonds stratégique d'investissement italien.
AFP/VNA/CVN