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L'accès aux armes à feu fait l'objet de restrictions en Italie. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
La veille, un homme âgé de 57 ans a fait irruption dans un café du nord de Rome et ouvert le feu, tuant trois femmes. Quatre autres personnes ont été blessées, dont une gravement. L'homme visait apparemment une réunion de syndic.
Le suspect a été maîtrisé et arrêté par les participants à cette réunion. Il est maintenant en garde à vue. Selon les communiqués de presse, l'homme avait un historique de litiges avec certains des membres du syndic.
La Première ministre italienne, Giorgia Meloni, a confirmé que l'une des victimes était Nicoletta Golisano, une amie à elle. "J'espère que la justice suivra son cours rapidement", a-t-elle déclaré sur les médias sociaux.
Selon les reportages de médias, l'agresseur avait déposé plusieurs plaintes détaillées sur le syndic de l'immeuble, dans lequel il vivait au sous-sol.
Selon un message posté par Mme Meloni sur les réseaux sociaux, le suspect s'était vu refuser un permis pour acheter une arme. Il a utilisé à la place une arme louée dans un stand de tir, lequel a été fermé et mis sous investigation, a indiqué Mme Meloni.
L'accès aux armes à feu fait l'objet de restrictions en Italie et les fusillades de masse y sont relativement rares.
Xinhua/VNA/CVN