>> Syrie : plus de 10.000 civils fuient Alep-Est, l'EI reprend Palmyre
>> L'armée syrienne contrôle désormais 90% d'Alep-Est
>> Irak : près de 200.000 civils pourraient fuir Mossoul en proie aux combats
Selon un communiqué du ministère irakien du Pétrole, M. Abdul Ghani a souligné à cette occasion la profondeur des liens historiques entre les deux peuples et l'importance de les maintenir d'une manière qui serve les intérêts nationaux de l'Irak et de la Syrie.
Les deux responsables, a indiqué le communiqué, ont discuté de la situation actuelle de l'oléoduc Kirkouk-Banias et de la possibilité de l'utiliser pour exporter du pétrole brut, et ils ont accepté de former un comité conjoint pour étudier l'état actuel de l'installation et la possibilité de reprendre les exportations par le biais de celle-ci, avec une proposition visant à impliquer un consultant international pour déterminer la viabilité opérationnelle de l'oléoduc, les systèmes de pompage et la faisabilité de sa réhabilitation.
De son côté, M. Al-Bachir a évoqué la situation actuelle de l'industrie pétrolière en Syrie, a ajouté le communiqué.
À ce sujet, il a souligné l'importance de la coopération sur l'oléoduc Kirkouk-Banias, qui a souffert d'actes de sabotage et de problèmes de vieillissement, et le besoin urgent de sa réhabilitation.
Reliant Kirkouk, dans le Nord de l'Irak, et Banias, une ville côtière de la Syrie, l'oléoduc est entré en service en 1952. Il a été fortement endommagé lors de l'invasion américaine de l'Irak de 2003 et est resté inactif depuis.
Xinhua/VNA/CVN