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Le prince William, deuxième dans l'ordre de succession à la couronne britannique, lors d'un engagement à Londres, le 20 octobre. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
Selon le tabloïd The Sun, le prince William, 38 ans, n'avait pas voulu parler de sa contamination car "il y avait des choses importantes qui se passaient et (il) ne voulait inquiéter personne".
Conformément aux consignes du gouvernement, William s'était alors isolé dans sa maison familiale d'Anmer Hamm, dans le Norfolk (Est de l'Angleterre), mais avait continué de tenir ses engagements par téléphone ou vidéoconférence.
Contacté lundi 2 novembre par l'AFP, le palais de Kensington n'a pas souhaité commenter cette information.
Aucune explication n'a été avancée sur la raison pour laquelle la famille royale n'a pas rendu publique cette contamination, contrairement à celle du prince Charles, fils de la reine Elizabeth et héritier de la couronne, annoncée le 25 mars par ses services.
Le prince de Galles, atteint de "légers symptômes", s'était alors isolé pendant sept jours dans sa résidence en Écosse avec sa femme Camilla, avait précisé Clarence House dans un communiqué, et avait continué de "télétravailler comme d'habitude".
Mais son fils William aurait lui été "frappé assez durement par le virus", selon The Sun. "Ça l'a vraiment mis K.O.", a déclaré une source anonyme au journal, ajoutant qu'"à un moment donné, il avait du mal à respirer, alors tout le monde autour de lui était évidemment assez paniqué".
Le Royaume-Uni, pays le plus endeuillé par la pandémie de COVID-19 en Europe avec 46.555 décès, est désormais frappé de plein fouet par la deuxième vague de l'épidémie. L'Angleterre se prépare à entrer jeudi 5 novembre dans un nouveau confinement, comme l'a déjà fait le Pays de Galles.