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Le président colombien Gustavo Petro refuse l'entrée des vols militaires d'immigrés expulsés par les États-Unis. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
Notant que les États-Unis ne peuvent pas traiter les migrants colombiens comme des criminels, M. Petro a déclaré dans un post sur X que Washington devait établir un protocole pour le traitement digne des migrants.
"Je ne peux pas obliger les migrants à rester dans un pays qui ne veut pas d'eux. Mais si ce pays les renvoie, cela doit se faire dans la dignité et le respect pour eux et pour notre pays. Nous accueillerons nos compatriotes dans des avions civils, sans les traiter comme des criminels. La Colombie doit être respectée", a-t-il déclaré.
Le jour de son investiture, le 20 janvier, M. Trump a signé un décret déclarant une urgence nationale à la frontière entre les États-Unis et le Mexique, appelant à des déportations massives de migrants sans papiers, déployant des forces militaires à la frontière et refusant la citoyenneté américaine aux personnes nées d'immigrés clandestins.
Xinhua/VNA/CVN