>>Le point sur la pandémie dans le monde
>>Coronavirus : le point sur la pandémie dans le monde
Les gens portent des masques pour prévenir l'infection au COVID-19 à Londres, au Royaume-Uni. |
Photo : Xinhua/VNA/CVN |
Les derniers chiffres montrent que le nombre de patients hospitalisés pour le COVID-19 dans la capitale britannique était tombé à son plus bas niveau depuis sept mois.
Selon les dernières données, un peu plus d'une personne meurt en moyenne par jour à Londres, dans les 28 jours suivant un test positif au coronavirus.
La plus forte baisse des cas confirmés de COVID-19 a été enregistrée à Barnet, avec une diminution de 40,8% au cours des sept jours se terminant le 28 avril, suivi de Lambeth (39,7%), Enfield (36%) et Bexley (34,7%), selon les chiffres officiels.
Le taux d'incidence du COVID-19 sur sept jours s'était stabilisé pendant plusieurs jours à Londres à environ 25 nouvelles infections confirmées pour 100.000 personnes, mais le taux a maintenant commencé à baisser et était de 21,2 cas pour 100.000 Londoniens au cours des sept jours se terminant le 28 avril, soit 1.900 infections confirmées au total, 17,1% de moins par rapport aux sept jours précédents.
Ces nouveaux chiffres ont été révélés au moment où le Premier ministre britannique Boris Johnson a estimé qu'il y avait de "bonnes chances" que la règle de la distanciation sociale d'un mètre soit abandonnée le mois prochain.
Mais il a également affirmé que cette décision dépendrait des données, ajoutant : "Nous ne pouvons pas encore l'affirmer de manière catégorique".
Des experts ont prévenu que, malgré les progrès réalisés dans le déploiement des vaccins, le Royaume-Uni n'était "pas encore sortie d'affaire", compte tenu des inquiétudes suscitées par les nouveaux variants du virus, notamment ceux détectés pour la première fois en Afrique du Sud, au Brésil et en Inde, et par la troisième vague de pandémie sur le continent européen.
Xinhua/VNA/CVN