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(De gauche à droite) : le président palestinien Mahmoud Abbas, le président algérien Abdelmadjid Tebboune et le chef politique du mouvement islamique Hamas Ismail Haniyeh lors d'une réunion à Alger, Algérie, le 5 juillet. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
Khalil Al-Hayya, chef adjoint du mouvement Hamas dans la bande de Gaza, a fait ces remarques lors d'une conférence entre les factions palestiniennes sur la fin de leurs divisions internes, qui s'est tenue simultanément à Gaza et dans la ville cisjordanienne de Ramallah.
"L'Algérie accueillera une nouvelle session du dialogue national des factions palestiniennes fin décembre pour relancer les efforts palestiniens pour parvenir à la réconciliation et mettre fin aux divisions internes", a-t-il indiqué dans un communiqué, ajoutant que le Hamas souhaitait restaurer l'unité nationale, non pas sur la base des besoins des habitants de la Cisjordanie et de la bande de Gaza, mais plutôt sur un programme et une vision de la résistance qui découlent du fait qu'il s'agit d'un mouvement de libération qui veut mettre fin à la division.
"Il y a un besoin d'une vision palestinienne capable d'obtenir le droit au retour et à la libération des terres occupées et de savoir comment mener cette activité", a-t-il poursuivi, notant que toutes les factions sont partenaires.
À la mi-octobre, 14 factions palestiniennes, dont le Hamas et le Fatah, ont signé la Déclaration d'Algérie sur la réconciliation nationale après un dialogue de deux jours organisé par Alger, acceptant d'organiser des élections présidentielle et législatives dans un délai d'un an.
De son côté, l'Algérie travaille depuis des mois pour négocier l'accord de réconciliation.
Xinhua/VNA/CVN