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Le char du roi sur la place Masséna. |
Pendant un peu plus de deux semaines, la "carnavalomanie" a atteint indistinctement petits et grands et dont les symptômes principaux étaient une irrésistible envie de gesticuler, de danser et de faire la fête.
La reine du carnaval. |
La place Masséna a accueilli cinq batailles de fleurs, six corsos carnavalesques dont quatre de nuit.
La ronde joyeuse. |
La bataille de fleurs a rappelé le pouvoir des fleurs tout en valorisant le patrimoine floral de la région. Chaque char a représenté un thème sublimé par sa composition florale et la création de costumes uniques portés par des animatrices et danseuses qui ont envoyé des milliers de fleurs au public.
La mante religieuse. |
Le corso a vu défiler des chars allégoriques ou burlesques composés d’éléments d’animation ou de groupes musicaux. Dans sa version nocturne, la mise en lumière lui a donné un côté magique.
L’aigle, emblème de la ville de Nice. |
Cette 137e édition a sans conteste gommé toute morosité et redonné la joie de vivre dans le cœur de tous les carnavaliers présents.
Le char de la pollution marine. |
Texte et photos : Daniel Ambrogi/CVN