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| Photo : Tuyêngiao/CVN |
Journalistes d’hier et d’aujourd’hui
À n’importe quel moment et dans n’importe quel pays, le métier de journaliste est toujours considéré comme un métier noble et glorieux. En général, les journalistes sont ceux qui ont la responsabilité de chercher les informations, de les vérifier et de les communiquer en les adaptant à leur public, c’est-à-dire qu’ils aident tout le monde à s’informer.
Pour la génération précédente, à l’époque où l’ordinateur n'existait pas encore, à l'époque de la presse écrite, un stylo, du papier et un appareil photo étaient des objets de valeur bien attachés aux journalistes.
Aujourd'hui, avec le développement rapide de la technologie numérique, ces objets traditionnels sont peu à peu remplacés par des équipements bien modernes (ordinateur personnel, tablette, smartphone ou appareil photo numérique) permettant aux journalistes d’optimiser leur performance.
À l'aide de ces supports ainsi que grâce à l’arrivée de la presse numérique, les journalistes de la génération Z peuvent enrichir le contenu de leurs productions avec non seulement de l’image, de la couleur mais aussi du son et de la vidéo. Ils peuvent mieux exercer leur métier. Toutefois, il est indéniable que ces derniers doivent faire face aux nouveaux défis de la société moderne. Malgré cette difficulté, beaucoup de journalistes de la génération Z décident de poursuivre cette carrière avec beaucoup d’enthousiasme et de dynamisme.
Les jeunes journalistes continuent à écrire l’histoire du journalisme
L'évolution constante de la société pose certainement de nouvelles difficultés chez les jeunes journalistes. En effet, la pandémie du COVID-19 est un exemple typique. Pendant le confinement, les journalistes se trouvent parmi ceux qui doivent exercer leur travail dans certaines zones à risque telles que dans des hôpitaux pour nous tenir au courant des actualités. Néanmoins, pourquoi des jeunes s’y engagent-ils ?
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| Photo : Tuyêngiao/CVN |
Pour NGUYEN Linh Chi, étudiante en journalisme à l’Université des Sciences Sociales et Humaines-Université nationale du Vietnam, à Hanoï, l’amour pour le métier de journaliste lui permet de relever tous les défis. À travers la fanpage de Facebook nommé "Z Journalism" dont Linh Chi est fondatrice, elle et ses amis aident les jeunes à mieux connaître les études et le métier du journalisme. “Z Journalism” aide aussi les jeunes étudiants en journalisme à partager leur bonheur et leurs difficultés sur ce chemin.
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| NGUYEN Linh Chi, étudiante de l’Université des Sciences Sociales et Humaines-Université nationale du Vietnam, Fondatrice de "Z Journalism". |
Comme la passion et l’amour pour le journalisme ne sont pas suffisants, la jeune génération doit également s’armer d’une base de connaissances solide et de toutes les attitudes nécessaires pour devenir un bon journaliste. TRAN Em Bi est une belle jeune fille pleine d’enthousiasme, étudiante en Communication à l’Université des Sciences Sociales et Humaines de Hô Chi Minh Ville. Elle éprouve une grande passion pour ce domaine.
Dans le but de poursuivre sa carrière de journaliste, elle décide de travailler pour plusieurs entreprises de médias, et collabore avec des journaux afin de perfectionner ses compétences.
Par ailleurs, chez certains jeunes reporters, cette profession leur permet de faire entendre leurs voix. Effectivement, le métier de journalisme, exige aux jeunes reporters de se lancer dans plusieurs challenges, d’aller sur le terrain et de rencontrer des gens de toutes les catégories sociales, ce qui leur donne une capacité à s'épanouir entièrement dans leur travail et dans leur vie. Grâce à cela, les jeunes reporters seront plus confiants en eux-même et toujours prêts à s'engager dans la vie.
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| TRAN Em Bi, étudiante de l’Université des Sciences Sociales et Humaines de Ho Chi Minh Ville. |
| Photo : SVVN - Báo điện tử Tiền Phong/CVN |
Évidemment, les jeunes journalistes d'aujourd'hui sont beaucoup plus indépendants. Auparavant, ceux qui exerçaient cet emploi rêvaient toujours de travailler pour des agences de presse mais les journalistes de la génération Z peuvent maintenant travailler en “freelance”.
Par conséquent, au lieu de se concentrer seulement sur les informations demandées par les lecteurs, ceux-ci poursuivent indépendamment des sujets auxquels ils s’intéressent ; ils sont complètement indépendants sur ce qu’ils écrivent. Avec leur plume, ils expriment leur créativité, reflètent leur personnalité et leur ego à travers chaque mot et chaque phrase.
En créant des contenus sur les plateformes de réseaux sociaux, les jeunes journalistes peuvent également établir leurs marques personnelles qui sont très importantes dans le domaine de la communication. Avec ces supports, ils peuvent avoir une grande possibilité de trouver leur place dans la société.
Ainsi, les jeunes appartenant à la génération Z continuent certainement à peindre un beau tableau du métier du journalisme avec beaucoup d'enthousiasme et de compétences.
Hoàng Việt Hà - Đinh Khánh Ly/CVN
