>> En Colombie, les guérilleros refusent un "processus de paix express"
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| Des déplacés traversent la rivière Tarra qui sépare la Colombie et le Venezuela, à Tibu en Colombie, le 19 janvier. |
| Photo : AFP/VNA/CVN |
M. Petro a fait cette déclaration en faisant référence à la crise humanitaire suite aux récentes attaques de la guérilla de l'Armée de libération nationale (ELN) qui ont fait au moins 80 morts et 11.000 déplacés.
Condamnant les attaques de la guérilla, il a déclaré que l'ELN était devenu un groupe armé davantage imprégné par le trafic de drogue et la culture paramilitaire.
L'armée travaille toujours pour sauver les civils menacés par l'ELN, en particulier les signataires de la paix et leurs familles dans les municipalités de Teorama, el Tarra, Convencion, San Calixto, Hacari et Tibu.
Le Bureau du médiateur a appelé l'ELN et les dissidents des Forces armées révolutionnaires de Colombie qui combattent dans la région à ouvrir des espaces humanitaires permettant la sortie des communautés vulnérables et l'acheminement des corps par les autorités en vue d'une identification complète.
Xinhua/VNA/CVN
