>>Un tireur blanc fait neuf morts dans une église noire de Charleston aux États-Unis
Évoquant sa "tristesse" et sa "colère", M. Obama a souligné qu'il était "particulièrement douloureux" d'assister à une fusillade "dans un lieu où nous cherchons le réconfort et la paix, un lieu de prière".
L'auteur présumé de cette fusillade menée dans la soirée du 17 juin, Dylann Roof, jeune homme blanc de 21 ans, a été arrêté le 18 juin.
"Nous ne disposons pas de tous les éléments mais nous savons qu'une nouvelle fois des innocents ont été tués notamment parce que quelqu'un qui leur en voulait n'a eu aucun mal à se procurer une arme", a déclaré M. Obama, au côté du vice-président Joe Biden. "Nous devons admettre le fait que ce type de violence n'arrive pas dans d'autres pays développés, cela n'arrive pas avec la même fréquence", a-t-il poursuivi.
"Et nous pouvons faire quelque chose", a-t-il encore dit. "À un certain moment, le peuple américain va devoir affronter cette réalité (...) nous devons être capables de faire évoluer notre façon de penser sur les violences par armes".
En décembre 2012 déjà, après le massacre de 20 écoliers dans le Connecticut, M. Obama avait souligné avec force la nécessité de légiférer sur ce sujet. Mais, en dépit de l'émotion suscitée par cette tragédie, il s'était une nouvelle heurté à la farouche opposition du Congrès sur ce sujet.
"Le fait que cela ait eu lieu dans une église noire soulève évidemment des questions sur une page sombre de notre histoire", a encore ajouté le président des États-Unis.
"Ce n'est pas la première fois que des églises noires ont été attaquées et nous savons que la haine entre religions et entre races représente une réelle menace pour notre démocratie et nos idéaux", a encore ajouté M. Obama qui s'est ensuite envolé pour la Californie, où il doit participer à des levées de fonds pour le parti démocrate.
Évoquant sa "tristesse" et sa "colère", M. Obama a souligné qu'il était "particulièrement douloureux" d'assister à une fusillade "dans un lieu où nous cherchons le réconfort et la paix, un lieu de prière".
L'auteur présumé de cette fusillade menée dans la soirée du 17 juin, Dylann Roof, jeune homme blanc de 21 ans, a été arrêté le 18 juin.
L'auteur présumé de fusillade de Charleston, Dylann Roof. Photo : AFP/VNA/CVN |
"Nous ne disposons pas de tous les éléments mais nous savons qu'une nouvelle fois des innocents ont été tués notamment parce que quelqu'un qui leur en voulait n'a eu aucun mal à se procurer une arme", a déclaré M. Obama, au côté du vice-président Joe Biden. "Nous devons admettre le fait que ce type de violence n'arrive pas dans d'autres pays développés, cela n'arrive pas avec la même fréquence", a-t-il poursuivi.
"Et nous pouvons faire quelque chose", a-t-il encore dit. "À un certain moment, le peuple américain va devoir affronter cette réalité (...) nous devons être capables de faire évoluer notre façon de penser sur les violences par armes".
En décembre 2012 déjà, après le massacre de 20 écoliers dans le Connecticut, M. Obama avait souligné avec force la nécessité de légiférer sur ce sujet. Mais, en dépit de l'émotion suscitée par cette tragédie, il s'était une nouvelle heurté à la farouche opposition du Congrès sur ce sujet.
"Le fait que cela ait eu lieu dans une église noire soulève évidemment des questions sur une page sombre de notre histoire", a encore ajouté le président des États-Unis.
"Ce n'est pas la première fois que des églises noires ont été attaquées et nous savons que la haine entre religions et entre races représente une réelle menace pour notre démocratie et nos idéaux", a encore ajouté M. Obama qui s'est ensuite envolé pour la Californie, où il doit participer à des levées de fonds pour le parti démocrate.
AFP/VNA/CVN