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| Un soldat ukrainien, près du village de Pesli, dans l'Est de l'Ukraine, non loin de la ligne de front avec les séparatistes du Donbass, le 25 janvier. |
| Photo : AFP/VNA/CVN |
La France, l'Allemagne, la Russie et l'Ukraine ont également réaffirmé leur soutien à "une pleine adhésion aux mesures de renforcement du cessez-le-feu du 22 juillet 2020, indépendamment des différences sur d'autres sujets relatifs à la mise en œuvre des accords de Minsk."
"Ils réaffirment que les Accords de Minsk sont la base du travail du format Normandie, et restent engagés pour atténuer les désaccords actuels dans les travaux à venir. Ils ont discuté de l'importance du groupe de contact trilatéral et ses groupes de travail pour intensifier leurs activités en vue de progrès rapides dans la mise en œuvre des accords de Minsk", a indiqué la présidence française.
Ils sont convenus de se réunir de nouveau à Berlin dans deux semaines, a fait savoir l'Élysée.
Interrogé à l'issue de la rencontre par plusieurs médias français dont Franceinfo, l'envoyé spécial russe sur le conflit ukrainien, Dmitri Kozak, a simplement évoqué des discussions qui n'étaient "pas simples".
Depuis plusieurs jours, la tension entre l'Ukraine et la Russie s'est fortement accrue. L'OTAN, les États-Unis et l'Ukraine ont accusé la Russie d'avoir amassé des troupes massives près de la frontière Est de l'Ukraine avec une possible intension "d'invasion". La Russie a démenti ces accusations, faisant valoir qu'elle se sentait menacée par la présence de l'OTAN dans ses pays voisins.
Xinhua/VNA/CVN